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Un homme de 35 ans a été jugé par le tribunal correctionnel de Rouen (Seine-Maritime) le vendredi 31 mai 2019 pour avoir rencontré sa femme avec une batte de baseball. Récit.

Les faits remontent à la soirée du 19 février 2019, lorsque Sarah * a appelé à l'aide, "terrifiée". Son mari Baptiste *, 35 ans, venait de frappé avec une batte de baseball.
Le couple, qui était complètement séparé depuis janvier, vivait toujours ensemble à la maison Boos. Vendredi 31 mai était Baptiste jugé par le tribunal correctionnel de Rouen (Seine-Maritime) et a été condamné à quatre mois de prison.
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Bat plusieurs jours de suite
À leur arrivée, les combattants ont trouvé la victime dans la rue, effrayés. Elle a expliqué qu'elle était sur le point de se séparer de son mari et qu'il la soupçonnait d'infidélité. Quand elle n'a pas voulu confirmer ses doutes, il est allé au garage avant de revenir avec une batte de baseball à la main.
En plus d'avoir été frappée au coude cette nuit-là, elle a également signalé des violences il y a quelques jours. Elle a dit qu'elle avait été frappée au visage le 16 février après des insultes mutuelles et qu'elle avait été violemment appuyée sur le canapé. Dans une autre dispute violente, il aurait lancé une chaussure au visage. Elle a reçu deux jours d'ITT.
Accusé de violence par l'un de ses enfants
En garde à vue, le mari violent a remis en question les faits, indiquant qu'il ne s'agissait "pas d'une trace d'une sorte mais d'un certificat de naissance" et que "ce n'était pas une chaussure mais une grue. Sur le stand, il a confirmé ses déclarations et contesté les violences:" Il était un échange d'insultes, elle m'a frappé et je l'ai serrée sur le canapé, c'est tout. "
C'était un argument mais pas de baseball, elle a dû se battre.
Avant ses démentis, le tribunal a noté que l'un de ses enfants l'accusait: "Papa tapote les murs avec ses mains, ils pleurent souvent et lui donnent des coups de pied à l'avant-bras gauche". Le tribunal a donc demandé: "Pourquoi votre fils vous accuse-t-il? L'accusé n'a pas pu l'expliquer.
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"Elle est terrifiée", explique un avocat
La jeune femme, présente à l'audience, tremblante et toujours caractérisée par ce qu'elle a vécu, a déclaré au tribunal qu'elle avait confirmé ses déclarations lors de sa plainte. L'avocat de la victime a déclaré que son client avait été insulté et maltraité à plusieurs reprises et que "les déclarations originales de l'accusé sur le stand témoignaient de son état d'esprit violent".
Elle se souvient que les blessures avaient été retrouvées par un médecin et que son client était terrifié que Baptiste * essaie de la contacter à nouveau. L'avocat a réclamé des dommages et intérêts de 3 800 €, ainsi qu'une interdiction de contacter son client et l'obligation de l'indemniser.
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Le procureur a relevé que "pendant quatre jours la violence crescendo", et qu'il existe des éléments suffisamment objectifs malgré les démentis de l'accusé qui "se blessent". Il a exigé huit mois de prison avec sursis et 18 mois de probation avec interdiction de contacter la victime, interdiction de se présenter à la maison, soins obligatoires et confiscation des balles de baseball.
"Mot contre mot"
Selon la défense de l'accusé, "c'est mot pour mot". Elle a remis en question le certificat médical établi qui n'avait pas de "valeur probante" car il n'était pasest effectuée par un médecin légiste. Enfin, il a estimé que les parties de la procédure étaient inadéquates et s'est demandé: "Pourquoi ne pouvons-nous pas le croire?"
La demande d'exemption de la défense n'a pas été suivie. Le tribunal a déclaré Baptiste * coupable, sans suivre les exigences de l'accusation. Il l'a condamné à quatre mois de prison avec sursis avec interdiction de détenir ou de porter une arme pendant deux ans. Il devra payer 1 400 euros de dommages et intérêts à Sarah. **
* Les prénoms ont été modifiés.
** Cette peine peut faire l'objet d'un appel. Tout le monde est présumé innocent jusqu'à épuisement de toutes les possibilités de réparation.
De notre correspondant, Frédéric Bernard.