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Le prévenu, qui s’est récemment installé à Saint-Ambroix dans le Gard, a également battu sa mère.
« Quand les gendarmes m’ont raconté ce qui s’était passé, j’avais les cheveux hérissésa résolu François Schneider, le procureur de la République d’Alès. C’est un miracle. Je ne sais même pas comment la victime est encore en vie. » La victime, dans cette affaire, est un retraité de 77 ans, domicilié à Saint-Ambroix et souffrant de graves problèmes de santé.
Assis dans un fauteuil roulant dans la salle d’audience du tribunal correctionnel, le visage porteur de la stigmatisation de l’enfer vécue le soir du 11 mars, il voit son gendre entrer lundi dans le box des accusés. Il est accusé de l’avoir frappé à plusieurs reprises avec une batte de baseball. La violence a également été utilisée contre sa mère, qui avait battu son mari pour tenter de le protéger…
Le prévenu, 31 ans et déjà bien connu pour des faits similaires, toujours sur fond alcoolique, est devenu vert dans le Gard fin novembre après une bagarre à laquelle il a participé dans le nord. Ce week-end, après avoir touché le premier salaire de son nouveau travail, il se met à boire et le ton monte avec ses parents. Sa mère lui fait remarquer qu’il le prend mal ; son beau-père s’en mêle ; et la situation dégénère… Alors que le retraité est au sol, il le frappe avec la batte qui traîne dans la pièce.
« Vous auriez pu le tuer », a déclaré le président
« Quand j’ai vu qu’il saignait, j’ai réalisé. J’ai arrêté de donner des coups de pied, mais c’était trop tard« explique le défendeur en se référant à « des tensions » famille et implique l’alcool. « Les conséquences auraient pu être absolument graves. Il l’a pris à cœur, pour ainsi dire. »engage la présidente du tribunal d’Alès, Céline Simitian, qui souligne les dégâts infligés : fractures, yeux au beurre noir, hématome du cerveau, etc. « l’immobilité de la violencepas le magistrat. Vous auriez pu le tuer ! » Heard, mère de trentenaire fond en larmes : « Il était incontrôlable. Nous étions proches de la mort… »
La défense insiste sur la « honte » de l’accusé.
Cet employé temporaire est un récidiviste et est sous probation jusqu’à 15 mois, suite à un crime similaire commis en avril 2020. De plus, le juge de la peine demande un non-lieu total. Le procureur de la République, pour sa part, a été confronté à cette « une flambée de violence absolue »y est également favorable, qui requiert également trois ans d’emprisonnement, dont six mois avec sursis, et une décision d’incarcération.
François Schneider insiste : « Nous avons échappé à une tragédie absolue. » La tâche de l’avocat de la défense Me Joris Numa s’avère alors ardue. Induit le sentiment de « la honte » de son client, il admet qu’il « je ne sais pas ce que je dois dire »avant de revenir sur les faits de « illustrer » le tribunal avant de rendre sa décision.
Cette décision tombe finalement en milieu d’après-midi et joint plus ou moins l’accusation contre l’accusation. Le prévenu a été condamné à trois ans d’emprisonnement, dont un avec sursis, avec, surtout, une injonction. Sa suspension de 15 mois a également été révoquée et il a été immédiatement conduit en cellule.
3 662 SMS et… deux ans de prison
Déjà condamné à 18 mois de probation, en octobre dernier, lors d’un procès dit de « plaidoyer de culpabilité », pour avoir harcelé son ex-petite amie, un homme de 32 ans a continué à l’agresser pendant quatre mois plus tard. Cette Grandcombienne a été surveillée sur les réseaux sociaux, suivie en voiture, géolocalisée au téléphone, recherchée par sexe et a reçu 3 662 messages.
Le tribunal est allé au-delà des réquisitions du procureur qui exigeaient, outre l’annulation du sursis, 18 mois, dont un an ferme, et le maintien en détention. En effet, le trentenaire a été condamné à 15 mois, en plus de ladite révocation. C’est un total de deux ans de prison, accompagné d’un retour en cellule.