- Meinl Snarebox - Snareox Noir + Batte LSnarebox Meinl, caisse de résonance en bouleau 19 x 19 x 33cm, bouleau de la Baltique, noirVoilà déjà plus de trente ans que Meinl fabrique des percussions de qualité qui ont su convaincre les plus grands professionnels du monde entier. Meinl est devenue la marque incontournable de la percussion moderne et a su s'adapter aux exigences des artistes les plus renommés. Au fil des années, Meinl s'est forgé une solide réputation grâce à un savoir-faire extraordinaire. Innovation & qualité sont les maîtres mots de Meinl.CaractéristiquesSnarebox Meinlcaisse de résonance en bouleau 19 x 19 x 33cmrail de montage en aluminiumbatte en mousse en L incluse. Event à l'avant pour une meilleure projection du sonson clair type snareutilisable avec n'importe quelle pédale standard grâce au rail et à la batte inclus.Idéal pour complémenter le jeu de la BASSBOX
- Meinl COW1bk - Batte Cloche NoirBatte pour cloche, en hévéa, poignée cannelée, noirVoilà déjà plus de trente ans que Meinl fabrique des percussions de qualité qui ont su convaincre les plus grands professionnels du monde entier. Meinl est devenue la marque incontournable de la percussion moderne et a su s'adapter aux exigences des artistes les plus renommés. Au fil des années, Meinl s'est forgé une solide réputation grâce à un savoir-faire extraordinaire. Innovation & qualité sont les maîtres mots de Meinl.CaractéristiquesBatte pour clocheen hévéapoignée cannelée
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La justice neuchâteloise a qualifié de tentative d’assassinat, une agression commise sur la mère d’un garçon de 4 ans à Fontaines.
Pour avoir agressé son ex avec une batte de baseball un samedi soir d’hiver à Fontaines (NE), une travailleuse du sexe fribourgeoise a été condamnée à douze ans de prison. Comme le rapporte « Arcinfo », le tribunal correctionnel du tribunal cantonal de Neuchâtel a qualifié cette agression de tentative d’assassinat. En première instance, BU avait été condamné à six ans de prison pour tentative de meurtre, peine jugée insuffisante par le procureur de la République, auteur de l’appel.
L’écrivain fribourgeois avait tout prévu mais il a tout nié en général. Avant de pénétrer par effraction dans la maison de son ex-petite amie, il avait placé un tracker sous sa voiture. Le 2 mars 2019, vers 23h30, il a laissé cette femme inconsciente chez elle, la tête en bouillie.
Un an et demi plus tôt, après sa séparation d’avec un homme de vingt ans son aîné, cette mère avait quitté le canton de Fribourg avec son fils de quatre ans. A Fontanes, elle n’a jamais attiré l’attention, si ce n’est par sa gentillesse. La cause déclenchante d’une vague de violences est un désaccord sur la garde de leur enfant, suite à une séparation compliquée, comme le rapporte « Arcinfo ».
Les cris du locataire avaient effrayé le propriétaire de la villa, qui habitait à l’étage. Lorsqu’un voisin alerté par SMS est intervenu, la victime était dans le sang. Trente-six heures après les faits, son pronostic vital reste « réservé ». Son coma a duré quatre jours. « Si seulement elle revenait vers nous », ont dit ses voisins. « Je suis un rescapé », a déclaré la victime au tribunal correctionnel.
Maux de tête, perte d’équilibre, fatigue et anxiété : à 43 ans, suivie d’un rétrécissement, la maman n’a pas trouvé sa vie avant. Son agresseur devra lui verser 60 000 francs en réparation du préjudice moral et payer les frais de justice. La victime devait toucher une pension AI, elle qui occupait un poste de responsabilité.