- Le passé en héritage : l'histoire vraie et romancée d'une famille de meuniers au début du XXe siècle Elisabeth Jaeger-Wolff Ed. du BastbergElisabeth Jaeger-Wolff
- Sylvain Rouer Débuter Le Trading Des Cryptomonnaies: Investir Dans Le Bitcoin Et La Blockchain Facilement Pour Les DébutantsBinding : Taschenbuch, Label : Independently published, Publisher : Independently published, medium : Taschenbuch, numberOfPages : 106, publicationDate : 2022-03-20, authors : Sylvain Rouer
- Table BRABANTIA Ice Water 124*38cmTable BRABANTIA Ice Water 124*38cm Une table qui transforme le repassage La plupart des gens seront d'accord pour affirmer que le repassage est une vraie corvée. Pourtant, il est nécessaire de le faire. Il faut, donc, trouver des petites astuces pour se faciliter la tâche. Être bien équipé est un bon début. La qualité du fer à repasser est, bien entendu, essentielle, mais on oublie souvent le rôle important joué par la table à repasser. C'est pourtant le support sur lequel les vêtements vont être posés et repassés. Si celui-ci ne convient pas, le repassage sera forcément plus compliqué. Heureusement, la table Brabantia Ice Water est là pour nous sauver la mise avec ses fonctions adaptées à un repassage simplifié. Des caractéristiques idéales pour une table à repasser Tout d'abord, la table Brabantia Ice Water est légère avec ses 6,6 kg, vous n'aurez aucun mal à la déplacer. Cela est une caractéristique importante pour ne pas s'épuiser avant même d'avoir commencé. Ensuite, sa taille, avec son plateau de 124 x 38 cm, est parfaite pour le repassage des pantalons et des chemises. Elle se replie très facilement et ne prend, alors, que très peu de place. Son plateau en métal recouvert d'une housse de coton apporte la rigidité et le moelleux nécessaires au repassage des vêtements. Elle est, aussi, constituée d'un repose fer. Enfin, élément qui peut sembler être un détail, mais qui en réalité est très important lorsque l'on achète une table à repasser, sa hauteur est réglable. C'est, en effet, en trouvant la hauteur idéale pour vous que vous n'aurez pas mal au dos en faisant votre repassage.
Publié le 15 janvier 2018 à 17 h 06.
En décembre dernier, le bitcoin a reçu sa première lettre noble: deux marchés boursiers américains – le Chicago Board Options Exchange et le Chicago Mercantile Exchange – ont lancé des contrats à terme sur la référence de la crypto-monnaie. Une semaine plus tard, juste avant Noël, le bitcoin a connu un quatrième crash depuis son lancement en 2009: son prix est passé de 18 000 $ à 11 000 $.
Le prix a depuis grimpé à environ 15 000 $ et continue de fluctuer rapidement sans que personne ne sache pourquoi. Dans une nouvelle chronique du New York Times, le prix Nobel d’économie Robert Shiller voit le bitcoin comme un actif sans valeur de base, qui fluctue selon les croyances et les humeurs.
Faut-il renoncer à l’analyse du bitcoin? Ne pouvons-nous pas dire quelque chose sur sa valeur « de base »? Je ne le pense pas et je suggère un moyen de comprendre le problème et d’obtenir des séquences.
Richesse cachée
Supposons qu’à long terme, les crypto-monnaies seront utilisées pour exécuter les transactions. Aujourd’hui, la plupart des transactions bitcoin impliquent des activités illégales: évasion fiscale, blanchiment d’argent, achat d’armes, de drogues, etc.
Quelle est la demande pour de telles transactions? La valeur des actifs financiers mondiaux est d’environ 280 billions de dollars. La richesse «peu claire» représente probablement un dixième de la richesse légale, soit 28 000 milliards. La valeur totale des crypto-monnaies (bitcoin, litecoin, ondulation, ethereum, etc.) est d’environ 0,5 billion. Pour relier ces deux chiffres, faisons un détour par la théorie économique.
L’économie monétaire analyse le concept de «vitesse», c’est-à-dire la vitesse de circulation de l’argent. Une devise rapide permet plus de transactions par unité de temps. Dans nos pays, par exemple, le stock de monnaie représente environ la moitié du PIB annuel et environ un dixième de la richesse (la valeur des biens mobiliers et immobiliers). Ce stock d’argent est suffisant pour effectuer nos transactions (achat de logement, paiement du salaire, etc.).
Si nous appliquons le même ratio de 1 à 10, nous pouvons imaginer que la richesse incertaine nécessite 2,8 trillions d’argent virtuel et anonyme pour effectuer ses transactions illégales. En tant que tel, la valeur totale des crypto-monnaies peut donc être multipliée par 5 ou 6. En prévision de ce phénomène, les investisseurs achètent des bitcoins massifs. Cela, à mon avis, explique une partie importante de la récente augmentation des prix.
Renforcement des contrôles
Heureusement, nous pouvons espérer que ce calcul ne réussira pas. Les régulateurs et les banques centrales sont à juste titre préoccupés par l’utilisation du bitcoin pour le blanchiment d’argent, et les gouvernements ne peuvent tolérer une augmentation exponentielle de l’évasion fiscale.
Le renforcement des contrôles ne signifierait pas nécessairement la fin des crypto-monnaies. Au contraire, des contrôles plus stricts permettraient de mieux séparer le blé du tableau.
De plus, toutes les crypto-monnaies ne sont pas utilisées pour des transactions illégales. Par exemple, Ethereum est utilisé pour exécuter rapidement et intelligemment les accords entre entreprises. Ripple utilise également la technologie blockchain et permet des transactions de paiement immédiates entre les institutions financières et les particuliers.
Dans le cas du bitcoin, il peut conserver sa valeur même en cas de transactions illégales car il représente le support de référence pour les transactions entre différentes crypto-monnaies, tout comme le dollar agit comme monnaie de référence pour le commerce international.
Thomas Philippon est professeur d’économie à la Stern School of Business de New York.