Climatiseur : comparatif – conseil – black friday – Fleury-Mérogis — Wikipédia

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    Climatiseur local PAC 2010 SH avec fonction de chauffageClimatiseur 4 en 1 : assure un climat ambiant agréable par tous les temps grâce au refroidissement, au chauffage, à la ventilation et à la déshumidification
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    Les températures idéales ne sont pas dues au hasard ! Le climatiseur Klarstein Grandbreeze Pro 14K lutte contre la chaleur estivale et produit une température intérieure confortable pour votre bien-être. Au bureau comme à la maison : fraîcheur garantie avec le Grandbreeze Pro. Plus de puissance pour un climat de rêve : avec sa capacité de climatisation de 14000 BTU / 1,65 kW sous le capot, le climatiseur Klarstein Grandbreeze Pro 14K génère des températures agréables entre 18 et 32 ??°C dans vos espaces de vie et de travail. Le climatiseur mobile alimente des pièces jusqu'à 68 m² avec un débit d'air jusqu'à 460 m³/h. Performance ne rime pas nécessairement avec coût élevé : il est si économique qu'il a obtenu la classe d'efficacité énergétique A. Un ventilateur à 3 vitesses réglables distribue l'air refroidi sous forme d'un souffle doux ou d'une brise puissante dans la pièce. Et si vous souhaitez simplement faire circuler l'air, faites simplement fonctionner le ventilateur seul et économisez encore plus d'électricité. De plus, la fonction de déshumidification intégrée du Grandbreeze Pro 14K vous libère de l'air chaud et humide de votre maison et vous permet de mieux respirer lors des chaudes journées d'été. Sa minuterie programmable démarre ou arrête le climatiseur après la durée réglée, tandis que le mode veille réduit lentement la climatisation. Toutes les fonctions du climatiseur Klarstein Grandbreeze Pro 14K sont réglables sur le panneau de commande clair de l'appareil et par télécommande. Avec ses lignes claires et son boîtier élégant, le climatiseur Klarstein Grandbreeze Pro 14K s'intègre parfaitement dans n'importe quel style d'intérieur ou de bureau et occupe sa place à la fenêtre avec confiance et discrétion. Bien entendu, toutes les pièces nécessaires au raccordement du climatiseur sont fournies, telles que le tuyau d'évacuation et le joint de fenêtre. Le climatiseur se déplace très facilement grâce aux roulettes silencieuses intégrées. L'été peut venir ! Avec le climatiseur Klarstein Grandbreeze Pro 14K, gardez la tête froide en toutes circonstances et offrez une fraîcheur bienvenue et une bouffée d'air frais à vos pièces surchauffées. Top Features: ¿ Puissant : capacité de climatisation de 14000 BTU / 1,65 kW et débit d'air de 460 m³/h ¿ Efficace : pour climatiser les pièces de 42-68 m² ¿ 3-en-1: climatiseur avec les modes climatisation, déshumidification et ventilation ¿ Inclus : flexible d'évacuation et joint de fenêtre pour fenêtres à guillotine et coulissantes ¿ Utilisation simple : par panneau de commande LED intuitif ou télécommande ¿ Economie d'énergie : classe d'efficacité énergétique A et réfrigérant écologique ¿ Très mobile : avec 4 roulettes et poignées pratiques ¿ Silencieux : faible niveau sonore de 55 dB seulement Caractéristiques: ¿ Kit d'étanchéité de fenêtre fourni ¿ Bouton de marche/arrêt sur le haut de l'appareil ¿ Capacité de climatisation : 14000 BTU / 1,65 kW ¿ Taille de pièce recommandée : 42 à 68 m² ¿ Niveau...
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    Climatiseur portable doté d'une grande capacité de refroidissement de 7000 BTU. Cette capacité permet d'atteindre rapidement et efficacement la température souhaitée dans votre pièce d'environ 15 m2. Technologie Soundless. Système qui permet un fonctionnement plus silencieux et qui réduit également les éventuelles vibrations pour un plus grand confort. L'appareil peut être configuré à distance via une connexion Wi-Fi, ce qui vous permet de contrôler entièrement l'appareil sur votre smartphone, où que vous soyez. Il est doté d'une télécommande qui permet de contrôler le climatiseur de n'importe où, sans avoir à s'en approcher pour en modifier les réglages. Son panneau de commande tactile supérieur vous permet de contrôler le fonctionnement du climatiseur de manière pratique et facile. L'écran LED affiche tous les réglages possibles et met en évidence les réglages en cours pour faciliter le contrôle du climatiseur. Le climatiseur dispose de 4 modes de fonctionnement : le mode Ventilation, le mode Refroidissement, le mode Déshumidification et le mode Nuit. Les deux vitesses du climatiseur permettent d'adapter son fonctionnement en fonction des besoins à tout moment, vitesse basse ou Low et vitesse haute ou High. Son mode Déshumidification est capable de capter jusqu'à un maximum de 20 litres par jour, ce qui permet d'obtenir un environnement plus sain dans votre maison. La minuterie peut être réglée sur un maximum de 24 heures pour sélectionner le temps de fonctionnement souhaité, après quoi le climatiseur s'éteint automatiquement. Le climatiseur utilise le gaz R-290, qui est respectueux de l'environnement et peu polluant. Sa puissance élevée de 792 W permet au climatiseur de couvrir des surfaces allant jusqu'à 15 m2 et d'atteindre la température souhaitée en peu de temps. Le climatiseur est équipé d'un tuyau d'évacuation de l'eau qui permet de le faire fonctionner en permanence. Le filtre à air est capable d'arrêter les plus grosses particules présentes dans l'air et d'obtenir ainsi une meilleure qualité de l'air. Ses roues multidirectionnelles à 360° et ses poignées permettent de déplacer le climatiseur d'une pièce à l'autre facilement, confortablement et avec peu d'efforts. Kit d'installation sur la fenêtre inclus. Composition Climatisation portable Télécommande Kit d'installation de fenêtre Manuel d'utilisation
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    Climatiseur mobile simple Hisense - 2kW - R290 - Blanc Hisense, l'un des plus grands fabricants d'électroménager propose ce climatiseur mobile simple de 2000W. Puissance : 2kW Jusqu'à 36m² Puissance sonore max : 64dB Mobile Gaz réfrigérant : R290
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  • Trotec Climatiseur mobile local PAC 3500 SH + AirLock 100
    Le PAC 3500 SH est un climatiseur mobile réversible de classe énergétique A à fonctions de ventilation et déshumidification. Sa capacité frigorifique s'élève à 3,5 kW/12.000 Btu, tandis que sa puissance calorifique est de 2,9 kW. En set avec kit de calfeutrage pour la gaine d'évacuation.
  • Trotec Climatiseur mobile local PAC 3500 SH + AirLock 1000
    Le PAC 3500 SH est un climatiseur mobile réversible de classe énergétique A à fonctions de ventilation et déshumidification. Sa capacité frigorifique s'élève à 3,5 kW/12.000 Btu, tandis que sa puissance calorifique est de 2,9 kW. En set avec kit de calfeutrage pour gaine d'évacuation.
  • Trotec Climatiseur mobile local design PAC 3810 S + AirLock 100
    Climatiseur de 3,8 kW/13.000 Btu pour 50 m²/125 m³ max. en set avec kit de calfeutrage AirLock 100.
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    Le PAC 3500 SH est un climatiseur mobile 4 en 1 de classe énergétique A à fonctions de refroidissement, chauffage, ventilation et déshumidification pour 46 m²/115 m³ max. Sa capacité frigorifique s'élève à 3,5 kW/12.000 Btu, tandis que sa puissance calorifique est de 2,9 kW.
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    Climatiseur mobile PAC 3501 S3 en 1 : climatisation, ventilation et déshumidification en un seul appareil
  • Trotec Climatiseur mobile local design PAC 3810 S
    Climatiseur mobile monobloc de 3,8 kW/13.000 Btu pour pièces de 50 m²/125 m³ max.
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    Climatiseur de 3,8 kW/13.000 Btu pour 50 m²/125 m³ max. en set avec kit de calfeutrage.
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    Climatiseur mobile 3 en 1 Climatiseur mobile 3 en 1 de la marque Bestron avec fonction climatiseur, ventilateur et déshumidificateur 3 en 1.  Capacité de refroidissement de 7000 BTU / 2.1 kW / 60 m3. Tuyau d'évacuation de 1.5m et kit d'évacuation par la fenêtre   Commande facile et simple par un panneau ou télécommande (fournie)
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    Découvrez le puissant climatiseur mobile compact HBM, un complément précieux pour les pièces qui se réchauffent rapidement. Grâce à sa conception compacte, ce climatiseur mobile est très silencieux, de sorte qu'il ne vous dérangera même pas la nuit. Le climatiseur est livré avec une télécommande pour plus de commodité. Ce climatiseur mobile associe un faible niveau sonore à un débit d'air puissant, ce qui vous permet de rafraîchir rapidement une pièce de 27 m² pour atteindre une température agréable. Le design compact permet de déplacer facilement le climatiseur et le tube flexible à l'arrière assure une dissipation efficace de la chaleur. Le climatiseur mobile compact HBM offre plusieurs options de luxe, telles que le réglage numérique de la température, une sécurité enfant, des roulettes pivotantes pour un déplacement aisé, une option de déshumidification, une minuterie de mise en veille et un système d'évacuation de la condensation. Grâce à la télécommande infrarouge fournie, vous pouvez contrôler toutes les fonctions confortablement depuis votre fauteuil ou votre lit. Grâce à ce climatiseur mobile léger, il est à nouveau possible de dormir et de travailler à la maison à une température confortable. Une solution pratique et agréable pour les journées chaudes !
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    Le climatiseur mobile compact HBM est la solution pour maintenir les espaces de travail et les entrepôts confortables pendant les journées chaudes. Avec une capacité de refroidissement de 9 000 BTU/h, ce puissant climatiseur peut refroidir sans effort une pièce de 30m2 rapidement jusqu'à une température confortable. Grâce à la technologie de la pompe à chaleur, l'air chaud est aspiré, refroidi puis expulsé, déplaçant ainsi plus de chaleur qu'il n'en coûte. Cela permet de maintenir la consommation d'énergie à un niveau bas et de ne pas gaspiller une chaleur précieuse. Le faible niveau sonore vous permet d'utiliser le climatiseur même dans votre chambre à coucher, sans nuisance sonore. Le tube flexible situé à l'arrière du climatiseur peut facilement être fixé à une fenêtre ou à un mur à l'aide des profilés et de la buse fournis, empêchant ainsi l'air chaud de circuler à l'intérieur et l'air refroidi de disparaître à l'extérieur. L'affichage LED facilite le réglage de la température, tandis que la sécurité enfant empêche toute utilisation non souhaitée. Grâce à ses roulettes légères, le climatiseur est facile à déplacer. La télécommande infrarouge permet de contrôler toutes les fonctions, y compris la minuterie de mise en veille pour une nuit de fraîcheur.
  • Trotec Climatiseur local monobloc mobile PAC 3000 X A+
    Climatiseur mobile de 2,9 kW pour pièces de 40 m²/100 m³ max.
  • Trotec Climatiseur local monobloc mobile PAC 3800 S
    Climatiseur mobile de 3,8 kW/13000 Btu pour pièces de 50 m²/125 m³ max.
  • Trotec Climatiseur local monobloc mobile PAC 3500 S
    Climatiseur mobile de 3,5 kW/12000 Btu pour pièces de 46 m²/115 m³ max.
  • Trotec Climatiseur local monobloc mobile PAC 2600 X
    Climatiseur mobile de 2,6 kW/9.000 Btu de catégorie énergétique A pour 34 m²/85 m³ max. Avec thermostat pour un fonctionnement aussi économique que possible, fonction de ventilation et de déshumidification en plus de sa fonction froid et télécommande pour un confort d'utilisation max.

Fleury-Mérogis (prononcé [flœʁi meʁɔʒis] Écouter) est une commune française située à vingt-six kilomètres au sud de Paris dans le département de l’Essonne en région Île-de-France. Elle est notamment connue pour sa maison d’arrêt, qui est l’une des plus grandes prisons d’Europe.

Ses habitants sont appelés les Floriacumois[1].

Situation[modifier | modifier le code]

Occupation des sols.
Type d’occupationPourcentageSuperficie
(en hectares)
Espace urbain construit35,3 %225,42
Espace urbain non construit11,7 %74,73
Espace rural52,9 %337,70
Source : Iaurif-MOS 2008[2]

Fleury-Mérogis est située à vingt-six kilomètres au sud de Paris-Notre-Dame[3], point zéro des routes de France, six kilomètres au sud-ouest d’Évry[4], sept kilomètres à l’est de Montlhéry[5], neuf kilomètres à l’ouest de Corbeil-Essonnes[6], neuf kilomètres au nord-est d’Arpajon[7], treize kilomètres au sud-est de Palaiseau[8], seize kilomètres au nord de La Ferté-Alais[9], vingt-six kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[10], vingt-six kilomètres au nord-est d’Étampes[11], vingt-huit kilomètres au nord-est de Dourdan[12].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Le point le plus bas de la commune est situé à soixante-seize mètres d’altitude et le point culminant à cent un mètres[13].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Fleury-Mérogis, située en Île-de-France, bénéficie d’un climat océanique dégradé aux hivers frais et aux étés doux, en étant régulièrement arrosée sur l’ensemble de l’année. En moyenne brute annuelle, la température s’établit à 10,8 °C, avec une moyenne maximale de 15,2 °C et une moyenne minimale à 6,4 °C. Les températures moyennes mensuelles extrêmes relevées sont de 24,5 °C en juillet au maximum et 0,7 °C en janvier au minimum, mais les records enregistrés s’établissent à 38,2 °C le et −19,6 °C le . Du fait de la moindre densité urbaine entre Paris et sa banlieue, une différence négative de un à deux degrés Celsius se fait sentir, surtout en début de journée. L’ensoleillement est comparable à la moyenne des régions du nord de la Loire avec un total de 1 798 heures par an, une moyenne haute à deux cent quarante heures en juillet et basse à cinquante trois heures en décembre. Les précipitations sont également réparties sur l’année, avec un total annuel de 598,3 millimètres de pluie et une moyenne approximative de cinquante millimètres par mois.

Données climatiques à Fleury-Mérogis.
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)0,712,84,88,311,11312,810,47,23,51,76,4
Température moyenne (°C)3,44,37,19,713,416,418,818,515,611,56,74,310,8
Température maximale moyenne (°C)6,17,611,414,618,621,824,524,220,815,89,96,815,2
Ensoleillement (h)598913417620322124022818313379531 798
Précipitations (mm)47,642,544,445,653,75152,248,555,651,654,151,5598,3

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ville ne possède pas de gare sur son territoire, les plus proches étant celles de Grigny, Viry-Châtillon (RER D) ou encore de Sainte-Geneviève des Bois (RER C) qui sont toutes trois des villes limitrophes.

Il est possible d’y accéder directement en empruntant les lignes DM5 (Juvisy RER – ZAC de la Croix Blanche) et 510 (Grigny – ZAC de la Croix Blanche) qui sont les lignes les plus importantes de la ville car elles desservent la quasi-intégralité des zones d’habitations de la ville.

La ligne TICE 401 (Saint-Michel-sur-Orge – Corbeil-Essonnes) relie la ville à Évry-Courcouronnes (notamment son centre commercial régional et sa préfecture) et Corbeil-Essonnes qui sont les deux villes les plus importantes du département, mais également à ses voisines Sainte-Geneviève des Bois et Saint-Michel-sur-Orge jusqu’à minuit tous les jours.

Pour la maison d’arrêt, la ligne 109 permet de relier la maison d’arrêt à Paris – Porte d’Orléans en moins de 30 minutes par autoroute tous les jours, et la DM50 à la gare de Juvisy, sans arrêt également.

La ligne TICE 409 (Fleury-Mérogis – Villabé) dessert également le territoire communal, mais uniquement 3 arrêts qui sont tous situés dans la ZI des Ciroliers et aux portes de la ZAC de la Croix-Blanche et avec une desserte assez famélique du fait de ses 4 à 5 passages journaliers les jours ouvrés seulement.

Lieux-dits, écarts et quartiers[modifier | modifier le code]

Quartier des Aunettes, reconstruit et réhabilité en 2013-2016.

À l’ouest de la ville, dans le quartier des Aunettes, un écoquartier, les Joncs-Marins, est construit à partir de 2013[16] avec seize lots devant totaliser onze cents logements familiaux (labellisés « effinergie + »[Quoi ?]), sociaux, résidence pour personnes âgées à mobilité réduite, centre commercial. Les petits immeubles, en majorité de cinq étages, sont quadrillés de rues ombragées d’arbres avec des allées de verdure et des pelouses. S’étendant sur 17 hectares, il comprend aussi des parkings et des commerces de proximité. Des appartements sont accessibles à la propriété, les derniers étant livrés pour 2016. Le lot no 2 comprend dix-neuf maisons individuelles construites selon les normes écologiques[réf. nécessaire].

Typologie[modifier | modifier le code]

Fleury-Mérogis est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[Note 1],[17],[18],[19].
Elle appartient à l’unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[20] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].

Fluriacum en 1093[25], Floriacum, Floriacum Merogii, Fleury-Merongis, Flori[26] ou Flory au XIIIe siècle.

De florus « être riche », -acum « fortification » et de l’anthroponyme Méraugis[27].

La commune fut créée en 1789 avec son nom actuel[28].

L’histoire de la ville commence en l’an 1093 : c’est à l’époque un domaine agricole appartenant à un seigneur du nom de Florus (d’où le nom de Floriacum = de Florus). L’endroit est la possession du seigneur Robertus de Floriacus en 1140, puis de Guillaume de Mérogis[29], et ainsi le village se nomme Flory-Mérogis au début du XIVe siècle. Il est construit autour de sa petite église et du château fort médiéval détruit en 1722. Guillaume Joly de Fleury (1675-1756), propriétaire des terres, fait construire un nouveau château dans les années 1720. La vocation agricole de Fleury-Mérogis se perpétue jusqu’au début des années 1960. En parallèle, on sait aussi qu’au XIXe siècle, la commune comptait aussi une carrière de pierres meulières, destinées à la ville de Paris, dont le lieu-dit du « Bois des trous » tire son nom[30]. Fleury-Mérogis comptait 261 habitants en 1946 et 361 en 1962.

Depuis 1968, la ville accueille sur son territoire la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis, le plus grand centre pénitentiaire d’Europe[31].

La population de la commune explose à partir des années 1970[28], intégrant des travailleurs immigrés et des populations issues de l’exode rural par vagues successives. Cette période marquée par la politique de regroupement familial est gérée par une municipalité communiste (jusqu’en 2009) qui doit faire construire des infrastructures ex nihilo. Les habitants sont au nombre de 4 953 en 1990[29], de 7 419 en 1982 et de 9 219 en 2013[32]. De grandes cités de logements sociaux sont construites rapidement dans les années 1970-1990. La politique de la ville évolue au début du XXIe siècle avec la destruction de tours et la réhabilitation de certains quartiers. Il est à noter que 37 % de la surface de la commune sont constitués d’espaces verts ou boisés[29].

Une nuit d’émeute a éclaté en juin 2016 dans la partie ouest de la ville[non pertinent].

Position de Fleury-Mérogis en Essonne.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[33], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à l’Essonne et à son arrondissement d’Évry après un transfert administratif effectif le . Pour l’élection des députés, la commune est rattachée à la dixième circonscription de l’Essonne.

La commune faisait partie depuis 1801 du canton de Longjumeau. Celui-ci est scindé en 1964 et la commune rattachée à celui de Juvisy-sur-Orge. Lors de la mise en place du département de l’Essonne, la commune intègre en 1967 le canton de Viry-Châtillon, puis, en 1975, celui de Morsang-sur-Orge. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Ris-Orangis.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté d’agglomération du Val d’Orge créée au .

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l’intercommunalité à l’ensemble des communes et la création d’intercommunalités de taille importante, le projet de schéma régional de coopération intercommunale de février 2015 prévoyait la création, en Essonne, d’une agglomération de plus de 500 000 habitants regroupant 48 communes, allant de l’Arpajonnais au SAN de Sénart Ville Nouvelle en Seine-et-Marne. Après concertation, ce projet a été amendé et le préfet de la région d’Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d’agglomération du Val d’Orge et de la communauté de communes de l’Arpajonnais[34] »

Cette fusion est intervenue le , créant la communauté d’agglomération Cœur d’Essonne Agglomération[35], dont la commune est désormais membre.

Tendances et résultats politiques[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

  • Élection présidentielle de 2002 : 79,46 % pour Jacques Chirac (RPR), 20,54 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 72,78 % de participation[36].
  • Élection présidentielle de 2007 : 51,81 % pour Ségolène Royal (PS), 48,19 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 83,03 % de participation[37].
  • Élection présidentielle de 2012 : 62,65 % pour François Hollande (PS), 37,35 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 78,13 % de participation[38].
  • Élection présidentielle de 2017 : 62,55 % pour Emmanuel Macron (LREM), 37,45 % pour Marine Le Pen (FN), 72 % de participation[39].
Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

  • Élections législatives de 2002 : 58,80 % pour Julien Dray (PS), 41,20 % pour Francis Decoux (UMP), 47,35 % de participation[40].
  • Élections législatives de 2007 : 57,25 % pour Julien Dray (PS), 42,75 % pour Laurence Gaudin (UMP), 51,92 % de participation[41].
  • Élections législatives de 2012 : 58,48 % pour Malek Boutih (PS), 41,52 % pour Marianne Duranton (PR), 48,28 % de participation[42].
  • Élections législatives de 2017 : 51,35 % pour Charlotte Girard (FI), 48,65 % pour Pierre-Alain Raphan (EM), 32,02 % de participation.
Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

  • Élections européennes de 2004 : 23,26 % pour Harlem Désir (PS), 21,82 % pour Francis Wurtz (PCF), 33,06 % de participation[43].
  • Élections européennes de 2009 : 24,32 % pour Patrick Le Hyaric (PCF), 16,59 % pour Harlem Désir (PS), 32,22 % de participation[44].
  • Élections européennes de 2014 : 29,01 % pour Aymeric Chauprade (FN), 21,33 % pour Pervenche Berès (PS), 35,12 % de participation[45].
  • Élections européennes de 2019 : 29,09 % pour Jordan Bardella (RN), 12,25 % pour Nathalie Loiseau (LREM), 36,99 % de participation.
Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

  • Élections régionales de 2004 : 62,62 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 21,82 % pour Jean-François Copé (UMP), 55,77 % de participation[46].
  • Élections régionales de 2010 : 71,59 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 28,41 % pour Valérie Pécresse (UMP), 39,25 % de participation[47].
  • Élections régionales de 2015 : 50,27 % pour Claude Bartolone (PS), 25,99 pour Wallerand de Saint-Just (FN), 23,74 % pour Valérie Pécresse (LR), 48,03 % de participation.
Élections cantonales puis départementales

Résultats des deuxièmes tours :

  • Élections cantonales de 2004 : 69,66 % pour Marjolaine Rauze (PCF), 30,34 % pour Laurence Gaudin (UMP), 56,00 % de participation[48].
  • Élections cantonales de 2011 : 68,14 % pour Marjolaine Rauze (PCF), 31,86 % pour René Delmas (FN), 36,91 % de participation[49].
  • Élections départementales de 2015 : 60,15 % pour Hélene Dian-Leloup et Stéphane Raffali (PS) , 39,85 % pour Isabelle Rossignol et Claude Stillen (FN), 36,96 % de participation.
Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours

  • Élections municipales de 2001 : données manquantes.
  • Élections municipales de 2008 : 100 % pour Michel Humbert (PCF) élu au premier tour, 40,61 % de participation[50].
  • Élections municipales partielles de 2009 : 54,43 % pour David Derrouet (PS) élu au premier tour, 45,57 % pour Michel Humbert (PCF), 52,42 % de participation[51].
  • Élections municipales de 2014 : 57,45 % pour David Derrouet (DVG) élu au premier tour, 15,60 % pour Bruno Hyson (DVD), 15.55 % pour Abdel Yassine (DVG), 11,38 % pour Annie Saltzmann (FDG), 62,07 % de participation[52].
  • Élections municipales partielles de 2019 : 56 % pour Olivier Corzani (PCF), élu au premier tour, 29 % pour Nadia Le Guern, adjointe sortante et 15 % pour Abdel Yassine, 39,05 % de participation[53].
  • Élections municipales de 2020 : 79,72 % pour Olivier Corzani (PCF) élu au premier tour, 20,28 % pour Nadia Le Guern, 42,39 % de participation[54].
Référendums
  • Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 69,86 % pour le Oui, 30,14 % pour le Non, 19,63 % de participation[55].
  • Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l’Europe : 73,73 % pour le Non, 26,27 % pour le Oui, 65,54 % de participation[56].

Politique locale[modifier | modifier le code]

Le maire réélu au terme des élections municipales de 2014 dans l’Essonne, David Derrouet, annonce en juin 2017 sa démission pour des raisons personnelles[57]. Le conseil municipal élit en octobre 2017 son successeur, Aline Cabeza[58], malgré la contestation de certains élus[59]. Celle-ci annonce toutefois sa démission dès novembre 2018, au terme d’un conseil municipal où le quorum n’avait pas été réuni et où des élus avaient reprochés au maire le départ de médecins[60].

Les élections municipales partielles organisées le voient la victoire de la liste « Fleury pleinement citoyenne » (SE) menée par Olivier Corzani (PCF) dès le premier tour[61] et celui-ci est élu maire le [62].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[63],[64]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
17891806Jean-François Billarant Gardien du château
18061813Jean-Louis Pierre Defresne Cultivateur
18131843Armand Guillaume Joly de Fleury Conseiller d’État
18431854Gabriel Jean Joly de Fleury Auditeur au Conseil d’État
18541871Jacques Louis-Napoléon Grandidier Notaire
18711871Louis Victor Auberge Agriculteur
18711888Ernest Grandidier Auditeur au Conseil d’État
Conservateur en chef au Musée du Louvre (1894 → 1912) .
18881892Émile Auberge  
18921916Edmond Bartissol[65]Républicains modérés
puis Républicains progressistes
Ingénieur
Député des Pyrénées-Orientales (1889 → 1893 et 1902 → 1910)
Député de l’Aude (1898 → 1898)
19161923Léon Blavet Agriculteur
19231926Gustave Batiau Courtier
19261948Pierre Louis Marcille Agriculteur
19481959Edmond Blanchard Horticulteur
19591975Auguste GenteletPCFÉconomiste
1975septembre 1998[66]Roger Clavier[67]PCFInspecteur des ventes
Démissionnaire
septembre 1998décembre 2009[68]Michel HumbertPCFIngénieur RATP
Mandat écourté à la suite de la démission d’une partie du Conseil municipal
décembre 2009[69],[70]octobre 2017[71]David DerrouetPS puis DVG[72],[73]
puis ND[74]
Consultant, ancien directeur de cabinet d’Athis et de Juvisy
Vice-président de la CA Cœur d’Essonne Agglomération (2016 → 2017[75])
Démissionnaire[57]
octobre 2017[58]décembre 2018[60],[76]Aline CabezaDVGRédactrice territoriale
Démissionnaire
février 2019[62]En cours
(au 9 février 2019)
Olivier CorzaniPCFÉducateur
Réélu pour le mandat 2020-2026

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d’Agenda 21[77].

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune de Fleury-Mérogis n’a développé[Quand ?] aucune association de jumelage.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[78],[Note 3].

En 2020, la commune comptait 13 708 habitants[Note 4], en augmentation de 47,52 % par rapport à 2014 (Essonne : +2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
137251211199210226223225217
185618611866187218761881188618911896
217230236235224198201180237
190119061911192119261931193619461954
239287268248349324238201445
196219681975198219901999200620112016
3511 1946 5517 4199 6779 0749 1679 11011 430
2020
13 708
Histogramme de l’évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d’un âge inférieur à 30 ans s’élève à 50,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,9 %). À l’inverse, le taux de personnes d’âge supérieur à 60 ans est de 6,0 % la même année, alors qu’il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 9 207 hommes pour 4 710 femmes, soit un taux de 66,16 % d’hommes, largement supérieur au taux départemental (48,98 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s’établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[80]
HommesClasse d’âgeFemmes

0,0 

90 ou +

0,5 

0,7 

75-89 ans

1,7 

3,9 

60-74 ans

6,5 

14,6 

45-59 ans

15,4 

30,2 

30-44 ans

26,0 

37,3 

15-29 ans

25,7 

13,3 

0-14 ans

24,2 

Pyramide des âges du département de l’Essonne en 2018 en pourcentage[81]
HommesClasse d’âgeFemmes

0,5 

90 ou +

1,2 

5,2 

75-89 ans

6,9 

12,7 

60-74 ans

13,6 

20,2 

45-59 ans

19,6 

20 

30-44 ans

20,2 

19,9 

15-29 ans

18,3 

21,6 

0-14 ans

20 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Fleury-Mérogis est rattachée à l’académie de Versailles. Elle dispose[Quand ?] des groupes scolaires Robert Desnos, Frédéric Joliot-Curie et Paul Langevin.

Santé[modifier | modifier le code]

Le centre hospitalier Manhes a été créé initialement en 1965 par la FNDIRP (Fédération nationale des déportés et internés résistants et patriotes) pour les anciens déportés [82]. Aujourd’hui, le centre hospitalier propose :Soins de Suite et de Réadaptation (SSR), Hôpital de Jour , Psychiatrie, Hémodialyse rénale, un service de consultations externes . La commune dispose sur son territoire de l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes Marcel-Paul (rattaché au centre Manhes, a vu le jour à l’initiative d’anciens déportés). Le centre Jean-Moulin fondé en 1948, est également rattaché au centre Manhes [83]. Un centre de la protection maternelle et infantile est implanté dans la commune[84].

Culture[modifier | modifier le code]

La ville dispose[Quand ?] de plusieurs infrastructures culturelles, dont[85] :

  • la salle André-Malraux (théâtre, danse, musique) ;
  • la médiathèque Elsa-Triolet ;
  • l’espace Jean-Wiener (centre musical et artistique) ;
  • Le Onze (studio de répétition et d’enregistrement).

Sports[modifier | modifier le code]

Le stade Auguste-Gentelet.

Le club de football, le FC Fleury 91, la D1 Féminine, les réserves, et les jeunes évoluent au Complexe Sportif Auguste Gentelet. Tandis que l’équipe première masculine réside au stade Robert-Bobin de Bondoufle[réf. nécessaire].

Services publics[modifier | modifier le code]

La commune dispose en 2010 sur son territoire d’une brigade de gendarmerie nationale[86] et d’une agence postale[87].

Lieux de culte[modifier | modifier le code]

L’église du Saint-Rédempteur.

La paroisse catholique de Fleury-Mérogis est rattachée au secteur pastoral du Val d’Orge-Sainte-Geneviève-des-Bois et au diocèse d’Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l’église du Saint-Rédempteur[88], datant du XVIIIe siècle[89].

Médias[modifier | modifier le code]

L’hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d’émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

La ville est principalement connue pour accueillir sur son sol la prison de Fleury-Mérogis.

Emplois, revenus et niveau de vie[modifier | modifier le code]

En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 16 729 , ce qui plaçait la commune au 12 100e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au cent quatre-vingtième rang départemental[90].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
 AgriculteursArtisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
EmployésOuvriers
Fleury-Mérogis0,0 %1,5 %8,8 %18,2 %44,7 %26,9 %
Zone d’emploi d’Orly0,1 %4,6 %15,2 %27,8 %30,3 %22,1 %
Moyenne nationale2,2 %6,0 %15,4 %24,6 %28,7 %23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
 AgricultureIndustrieConstructionCommerceServices aux
entreprises
Services aux
particuliers
Fleury-Mérogis0,3 %5,7 %3,1 %11,5 %6,4 %4,1 %
Zone d’emploi d’Orly0,5 %8,1 %7,2 %15,0 %14,3 %6,3 %
Moyenne nationale3,5 %15,2 %6,4 %13,3 %13,3 %7,6 %
Sources : Insee[91],[92],[93]

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Les bois communaux ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l’Essonne[94].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Une borne routière marquée d’une fleur de lys, aujourd’hui disparue, a été inscrite aux monuments historiques le [95].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Fleury-Mérogis :

Héraldique et logotype[modifier | modifier le code]

Blason de Fleury-Mérogis

La commune de Fleury-Mérogis ne dispose pas de blason. Elle s’est dotée d’un logotype.

Logotype de Fleury-Mérogis

Fleury-Mérogis dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

  • Trust – Le Mitard (musique) : 8e morceau de la version française de l’album Répression, et 10e pour la version anglaise. Les auteurs sont Bernie Bonvoisin (chanteur du groupe) et Jacques Mesrine (ancien criminel français, connu comme « l’ennemi public numéro un », et principal protagoniste du morceau). Dans cette chanson, Fleury-Mérogis désigne la maison d’arrêt de ladite commune, où Jacques Mesrine fut incarcéré. Elle visait à dénoncer le traitement des détenus.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de l’Essonne – tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Fleury-Mérogis », p. 821–823
  • Angel Perez, Fleury-Mérogis, La Pensée Unique, , 156 p. (ISBN 978-2-214-04666-1)
  • Collectif d’auteurs, Le Spectateur anonyme, Ramsay,
  • Élisabeth Cons, La boîte à oubli : dix ans à Fleury-Mérogis, Lattes, , 265 p. (ISBN 978-2-7096-2199-1)
  • Martine Schachtel, Femmes en prison : dans les coulisses de Fleury-Mérogis, Albin Michel, , 176 p. (ISBN 978-2-226-12071-7)
  • Isabelle Le Bourgeois, Derrière les barreaux des hommes : femme et aumônier à Fleury-Mérogis, (ISBN 978-2-220-05230-4)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d’aire d’attraction des villes a remplacé, en , celle d’aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l’Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l’ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 02/04/2009.
  2. Fiche communale d’occupation des sols en 2008 sur le site de l’Iaurif. Consulté le 11/11/2010.
  3. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  4. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  5. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  6. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  7. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  8. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  9. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  10. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  11. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  12. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  13. « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 21/02/2013.)..
  14. « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur le site de lameteo.org (consulté le ).
  15. « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  16. Site de la mairie
  17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune urbaine – définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l’Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  23. « Liste des communes composant l’aire d’attraction de Paris », sur le site de l’Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l’Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  25. dans le Cartulaire de Longpont
  26. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  27. Histoire: archéologie, biographie du canton de Longjumeau
  28. a b et c Des villages de Cassini aux communes d’aujourd’hui sur le site de l’École des hautes études en sciences sociales.
  29. a b et c Histoire de Fleury-Mérogis
  30. Maison de Banlieue et de l’Architecture, L’homme de la meulière : extraction, mise en œuvre… en Essonne, , 60 p. (lire en ligne), p. 22-23.
  31. Fiche de la prison de Fleury-Mérogis sur le site topic-topos.com Consulté le 25/07/2016.
  32. Voir tableau ci-après
  33. Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
  34. « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional (la coopération intercommunale » [PDF], sur http://www.marneetgondoire.fr (consulté le ).
  35. Julien Heyligen (avec Florian Loisy et Isoline Fontaine), « Nouvelles agglomérations en Essonne : qu’est-ce que ça change vraiment ? », Le Parisien, édition de l’Essonne,‎ (lire en ligne).
  36. Résultats de l’élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
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  39. « Essonne : Présidentielle 2017 : Les résultats à Fleury-Mérogis », Essonne Info | Site d’actualité et d’information en Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Résultats de l’élection législative 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  41. Résultats de l’élection législative 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  42. Résultats de l’élection législative 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 21/06/2012.
  43. Résultats de l’élection européenne 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  44. Résultats de l’élection européenne 2009 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  45. Résultats de l’élection européenne 2014 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 12/10/2014.
  46. Résultats de l’élection régionale 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  47. Résultats de l’élection régionale 2010 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 30/03/2010.
  48. Résultats de l’élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  49. Résultats de l’élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/04/2011.
  50. Résultats de l’élection municipale 2008 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 23/01/2013.
  51. Résultats de l’élection municipale partielle 2009 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/01/2010.
  52. Résultats du 1er tour pour la commune Fleury-Mérogis.
  53. Cécile Chevallier, « Municipale à Fleury-Mérogis : la liste menée par Olivier Corzani l’emporte dès le 1er tour », Le Parisien, édition de l’Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Sa liste (SE) « Fleury pleinement citoyenne » arrive en tête avec 56 % des suffrages exprimés. L’abstention frôle les 61 %. ».
  54. « Elections municipales et communautaires 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  55. Résultats du référendum 2000 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  56. Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 23/07/2009.
  57. a et b N. C., « Fleury-Mérogis : David Derrouet reste silencieux sur les raisons de sa démission : Maire (DVG) de la commune depuis 2009, il avait déjà démissionné en mars dernier de son poste de vice-président de l’agglomération pour « raisons personnelles », Le Parisien, édition de l’Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  58. a et b Sébastien Morelli, « Aline Cabeza, nouvelle maire de Fleury-Mérogis », Le Parisien, édition de l’Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  59. N.C., « Fleury-Mérogis : le recours contre l’élection de la maire rejeté par la justice », Le Parisien, édition de l’Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  60. a et b Nolwenn Cosson, « Essonne : la maire de Fleury-Mérogis jette bien l’éponge : Essonne : la maire de Fleury-Mérogis jette bien l’éponge », Le Parisien, édition de l’Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Elle aura tenu un an et un mois. C’est dans un excès de colère qu’Aline Cabeza, maire (DVG) de Fleury-Mérogis, a annoncé vouloir rendre son mandat lors du conseil municipal organisé ce lundi soir. Alors que le quorum n’était pas atteint, l’élue a été prise à partie par les membres de l’opposition sur l’absentéisme, mais aussi sur la question de la santé ».
  61. Nolwenn Cosson, « Fleury-Mérogis : Olivier Corzani prend les rênes de la ville : Le « gamin de la ville » comme il aime à le rappeler n’avait jamais imaginé devenir maire en 2019. Sa liste a remporté l’élection municipale partielle dès le premier tour ce dimanche. », Le Parisien, édition de l’Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  62. a et b Nolwenn Cosson, « Olivier Corzani devient le nouveau maire de Fleury-Mérogis », Le Parisien, édition Île-de-France & Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La tête de liste du groupe (SE) Fleury pleinement citoyenne a été élu avec 26 voix. Il promet de mener son mandat « sans rancœur ni amertume ».
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  69. « Le Parti communiste perd la mairie : L’UMP, qui n’avait pas respecté la date limite du dépôt des candidatures, est restée hors jeu. Ce résultat, à l’issue d’un duel « fratricide » entre deux hommes qui faisaient cause commune en mars 2008, constitue un vrai séisme au sein de la gauche essonnienne. Le PC perd un de ses derniers fiefs. Michel Humbert était en poste depuis 1998 », Le Parisien, édition de l’Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  71. Nolwenn Cosson, « Démission du maire de Fleury-Mérogis : « Je ne regrette rien, j’ai fait du mieux que j’ai pu » : Comme annoncé dans une lettre distribuée il y a quelques semaines à ses concitoyens, David Derrouet, le maire (DVG) de Fleury-Mérogis, vient de démissionner de son mandat. Il dévoile les raisons de son départ », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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