Climatiseur : comparatif – lequel choisir – moins cher – Climatisation — Wikipédia

  • Unité Extèrieure 4MXM68A DAIKIN (2 à 4 Sorties) - Climatisation Réversible Inverter Multi-Split
    Vous apprécierez ce climatiseur Quadri-Split (modèle 4MXM68A ), écologique et performante, un modèle d'Unité Extérieure Multi-Split sur lequel vous pouvez connecter 2 à 4 unités intérieures. Cette clim DAIKIN, Gamme Bluevolution, propose une puissance de 6,80 kW / 8,60 kW, idéal pour 2 à 4 pièces d'un total : Entre 60 m² et 70 m². Ce modèle de climatisation appartient à la classe saisonnière énergétique A++/A+ (Froid et Chaud). - Compatibilité RT2012 (Blocage en Chaud) : OUI (Switch sur U.Extèrieure) - Fluide Frigorigène : R32 Garantie : 3 ans Pièces / 5 ans Compresseur
  • Unité Extèrieure MXZ-4F83VFHZ MITSUBISHI ELECTRIC (4 Sorties) - Climatisation Réversible Inverter Multi-Split
    Vous apprécierez ce climatiseur Quadri-Split (modèle MXZ-4F83VFHZ ), écologique et performante, un modèle d'Unité Extérieure Multi-Split sur lequel vous pouvez connecter 4 unités intérieures. Cette clim MITSUBISHI ELECTRIC, Gamme Hyper Heating, propose une puissance de 8,30 kW / 9,00 kW, idéal pour 4 pièces d'un total : Entre 65 m² et 85 m². Ce modèle de climatisation appartient à la classe saisonnière énergétique A++/A+ (Froid et Chaud). - Compatibilité RT2012 (Blocage en Chaud) : OUI (Switch sur U.Extèrieure) - Fluide Frigorigène : R32 Garantie : 3 ans Pièces / 5 ans Compresseur
  • Unité Extèrieure 2MXM50A DAIKIN (2 Sorties) - Climatisation Inverter Multi-Split Réversible
    Choisir la climatisation réversible inverter Bi-Split (modèle 2MXM50A) qui pourra convenir à votre habitation, pour chauffer et refroidir,ce modéle d'Unité Extérieure Multi-Split permet de connecter 2 unités intérieures. Ce climatiseur DAIKIN, Gamme Bluevolution, se distingue par une puissance restituée nominale de 5,00 kW / 5,60 kW, adapté pour 2 pièces d'un total : Entre 45 m² et 50 m². Vous apprécierez ses performances pour la production de froid et de chaud. Cette clim à un coefficient saisonnier énergétique A+++/A++ (Froid et Chaud). - Compatibilité RT2012 (Blocage en Chaud) : OUI (Switch sur U.Extèrieure) - Fluide Frigorigène : R32 Garantie : 3 ans Pièces / 5 ans Compresseur
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  • Trotec Climatiseur mobile local PAC 2010 SH avec fonction de chauffage
    Climatiseur local PAC 2010 SH avec fonction de chauffageClimatiseur 4 en 1 : assure un climat ambiant agréable par tous les temps grâce au refroidissement, au chauffage, à la ventilation et à la déshumidification
  • Climatiseur mobile avec evacuation - Klarstein - 14000 BTU - Fonction ventilateur & déshumidificateur - Refroidisseur d'air - Blanc
    Les températures idéales ne sont pas dues au hasard ! Le climatiseur Klarstein Grandbreeze Pro 14K lutte contre la chaleur estivale et produit une température intérieure confortable pour votre bien-être. Au bureau comme à la maison : fraîcheur garantie avec le Grandbreeze Pro. Plus de puissance pour un climat de rêve : avec sa capacité de climatisation de 14000 BTU / 1,65 kW sous le capot, le climatiseur Klarstein Grandbreeze Pro 14K génère des températures agréables entre 18 et 32 ??°C dans vos espaces de vie et de travail. Le climatiseur mobile alimente des pièces jusqu'à 68 m² avec un débit d'air jusqu'à 460 m³/h. Performance ne rime pas nécessairement avec coût élevé : il est si économique qu'il a obtenu la classe d'efficacité énergétique A. Un ventilateur à 3 vitesses réglables distribue l'air refroidi sous forme d'un souffle doux ou d'une brise puissante dans la pièce. Et si vous souhaitez simplement faire circuler l'air, faites simplement fonctionner le ventilateur seul et économisez encore plus d'électricité. De plus, la fonction de déshumidification intégrée du Grandbreeze Pro 14K vous libère de l'air chaud et humide de votre maison et vous permet de mieux respirer lors des chaudes journées d'été. Sa minuterie programmable démarre ou arrête le climatiseur après la durée réglée, tandis que le mode veille réduit lentement la climatisation. Toutes les fonctions du climatiseur Klarstein Grandbreeze Pro 14K sont réglables sur le panneau de commande clair de l'appareil et par télécommande. Avec ses lignes claires et son boîtier élégant, le climatiseur Klarstein Grandbreeze Pro 14K s'intègre parfaitement dans n'importe quel style d'intérieur ou de bureau et occupe sa place à la fenêtre avec confiance et discrétion. Bien entendu, toutes les pièces nécessaires au raccordement du climatiseur sont fournies, telles que le tuyau d'évacuation et le joint de fenêtre. Le climatiseur se déplace très facilement grâce aux roulettes silencieuses intégrées. L'été peut venir ! Avec le climatiseur Klarstein Grandbreeze Pro 14K, gardez la tête froide en toutes circonstances et offrez une fraîcheur bienvenue et une bouffée d'air frais à vos pièces surchauffées. Top Features: ¿ Puissant : capacité de climatisation de 14000 BTU / 1,65 kW et débit d'air de 460 m³/h ¿ Efficace : pour climatiser les pièces de 42-68 m² ¿ 3-en-1: climatiseur avec les modes climatisation, déshumidification et ventilation ¿ Inclus : flexible d'évacuation et joint de fenêtre pour fenêtres à guillotine et coulissantes ¿ Utilisation simple : par panneau de commande LED intuitif ou télécommande ¿ Economie d'énergie : classe d'efficacité énergétique A et réfrigérant écologique ¿ Très mobile : avec 4 roulettes et poignées pratiques ¿ Silencieux : faible niveau sonore de 55 dB seulement Caractéristiques: ¿ Kit d'étanchéité de fenêtre fourni ¿ Bouton de marche/arrêt sur le haut de l'appareil ¿ Capacité de climatisation : 14000 BTU / 1,65 kW ¿ Taille de pièce recommandée : 42 à 68 m² ¿ Niveau...
  • Sovelor climatiseur mobile silencieux
    Découvrez le climatiseur mobile PAC 2100 X, une solution rafraîchissante pour votre espace, alliant efficacité et style. Sa conception compacte et attrayante s'intègre parfaitement dans n'importe quel environnement, tandis que son fonctionnement silencieux assure un véritable confort, même à un d...
  • QLIMA P622 Climatiseur mobile 2200 watts - 7500 Btu - Programmable - Silencieux
    Climatiseur mobile P622 - Arret automatique - Sauvegarde de la programmation en cas de coupure électrique - Ventilation orientable - Climatisation / Déshumidification
  • Sichler Climatiseur mobile 2600 W / 9000 BTU/h
    Avec 2 puissances de ventilation et une température programmable, ce climatiseur vous garantit une température agréable et confortable tout au long de la journée. Profitez d’une brise fraîche chez vous ou au bure...
  • Cecotec Climatiseur mobile portable silencieux ForceClima 7500 Soundless Connected
    Climatiseur portable doté d'une grande capacité de refroidissement de 7000 BTU. Cette capacité permet d'atteindre rapidement et efficacement la température souhaitée dans votre pièce d'environ 15 m2. Technologie Soundless. Système qui permet un fonctionnement plus silencieux et qui réduit également les éventuelles vibrations pour un plus grand confort. L'appareil peut être configuré à distance via une connexion Wi-Fi, ce qui vous permet de contrôler entièrement l'appareil sur votre smartphone, où que vous soyez. Il est doté d'une télécommande qui permet de contrôler le climatiseur de n'importe où, sans avoir à s'en approcher pour en modifier les réglages. Son panneau de commande tactile supérieur vous permet de contrôler le fonctionnement du climatiseur de manière pratique et facile. L'écran LED affiche tous les réglages possibles et met en évidence les réglages en cours pour faciliter le contrôle du climatiseur. Le climatiseur dispose de 4 modes de fonctionnement : le mode Ventilation, le mode Refroidissement, le mode Déshumidification et le mode Nuit. Les deux vitesses du climatiseur permettent d'adapter son fonctionnement en fonction des besoins à tout moment, vitesse basse ou Low et vitesse haute ou High. Son mode Déshumidification est capable de capter jusqu'à un maximum de 20 litres par jour, ce qui permet d'obtenir un environnement plus sain dans votre maison. La minuterie peut être réglée sur un maximum de 24 heures pour sélectionner le temps de fonctionnement souhaité, après quoi le climatiseur s'éteint automatiquement. Le climatiseur utilise le gaz R-290, qui est respectueux de l'environnement et peu polluant. Sa puissance élevée de 792 W permet au climatiseur de couvrir des surfaces allant jusqu'à 15 m2 et d'atteindre la température souhaitée en peu de temps. Le climatiseur est équipé d'un tuyau d'évacuation de l'eau qui permet de le faire fonctionner en permanence. Le filtre à air est capable d'arrêter les plus grosses particules présentes dans l'air et d'obtenir ainsi une meilleure qualité de l'air. Ses roues multidirectionnelles à 360° et ses poignées permettent de déplacer le climatiseur d'une pièce à l'autre facilement, confortablement et avec peu d'efforts. Kit d'installation sur la fenêtre inclus. Composition Climatisation portable Télécommande Kit d'installation de fenêtre Manuel d'utilisation
  • Climatiseur mobile Vortice KRYO POLAR EVO 11000BTU Gaz R290 65001
    Climatiseur Porteur Vortex KRYO-POLAR EVO 11000BTU avec Gaz R290, 4 modes de fonctionnement : automatique, refroidissement, déshumidification, ventilation. Fiche techinique
  • Climatiseur mobile simple Hisense - 2kW - 36m2 - 63dB - Blanc
    Climatiseur mobile simple Hisense - 2kW - R290 - Blanc Hisense, l'un des plus grands fabricants d'électroménager propose ce climatiseur mobile simple de 2000W. Puissance : 2kW Jusqu'à 36m² Puissance sonore max : 64dB Mobile Gaz réfrigérant : R290
  • Cecotec Climatiseur mobile portable silencieux ForceClima 9500 Soundless Heating Connected
    Climatiseur portable avec une grande capacité de refroidissement de 9000 BTU. Cette capacité permet d'atteindre facilement et rapidement la température souhaitée dans la pièce. Technologie silencieuse. Système qui offre un fonctionnement plus silencieux et réduit également les vibrations possibles pour créer un plus grand confort. La pompe à chaleur de climatisation peut également être utilisée en hiver afin d'augmenter la température de la pièce dans laquelle elle se trouve. L'appareil peut être configuré à distance via une connexion Wi-Fi, vous aurez donc le contrôle total de l'appareil sur votre smartphone de n'importe où. Il dispose d'une télécommande pour contrôler confortablement le climatiseur de n'importe où sans avoir à s'en approcher pour modifier les paramètres sélectionnés. Sa grande surface de couverture de 20 m2 permet d'adapter et de modifier la température de la pièce aux degrés souhaités, soit pour réduire les degrés en été, soit les augmenter en hiver. L'écran LED affiche tous les réglages possibles et met en évidence ceux actuellement utilisés pour un contrôle facile du climatiseur. Le climatiseur dispose de 5 modes de fonctionnement : mode ventilateur, mode refroidissement, mode chauffage, mode déshumidification et mode nuit. Les 2 vitesses de la climatisation vous permettent d'adapter son fonctionnement en fonction du besoin à tout moment, de bas en haut. Son mode de déshumidification est capable de capturer jusqu'à un maximum de 24 litres par jour, ce qui permettra d'obtenir un environnement plus sain dans votre maison. La minuterie peut être programmée pour un maximum de 24 heures pour sélectionner le temps de fonctionnement souhaité, une fois terminé, il s'éteindra automatiquement. La climatisation a une fonction d'oscillation pour faciliter la sortie d'air dans toutes les directions et ainsi améliorer la climatisation de la pièce. Il dispose de 3 systèmes de sécurité. Sécurité antigel (si la température s'approche de 0°, il s'éteint), sécurité anti-débordement (lorsque le réservoir est plein, un voyant rouge "réservoir plein" s'éteint et clignote) et sécurité du compresseur qui prolonge sa durée de vie (cela prend 3 minutes s'éteindre évitant ainsi un arrêt brutal qui le force excessivement). Son classement énergétique A assure une consommation modérée d'électricité grâce à son excellent fonctionnement à la fois efficace et efficient. La climatisation utilise du gaz R-290, respectueux de l'environnement et peu polluant. Sa grande puissance de 1010 W permet au climatiseur de couvrir des surfaces de 20 m2 et d'atteindre la température souhaitée en peu de temps. Le climatiseur a un tube de drainage de l'eau pour le faire fonctionner à tout moment. Le filtre à air est capable d'arrêter les plus grosses particules dans l'air et d'en obtenir ainsi une meilleure qualité. Ses roues multidirectionnelles à 360° et ses poignées vous permettent de déplacer la climatisation d'une pièce à l'autre de manière simple, confortable et sans...
  • Trotec Climatiseur mobile monobloc PAC 3500
    Climatiseur monobloc pour pièces de 115 m³ max. À raison d'une consommation d'énergie de classe A et d'une puissance frigorifique élevée de 3,5 kW, il se distingue également en matière de rentabilité et crée un ilôt de fraîcheur à la demande.
  • Trotec Climatiseur mobile local PAC 3500 SH + AirLock 100
    Le PAC 3500 SH est un climatiseur mobile réversible de classe énergétique A à fonctions de ventilation et déshumidification. Sa capacité frigorifique s'élève à 3,5 kW/12.000 Btu, tandis que sa puissance calorifique est de 2,9 kW. En set avec kit de calfeutrage pour la gaine d'évacuation.
  • Trotec Climatiseur mobile local PAC 3500 SH avec fonction de chauffage
    Le PAC 3500 SH est un climatiseur mobile 4 en 1 de classe énergétique A à fonctions de refroidissement, chauffage, ventilation et déshumidification pour 46 m²/115 m³ max. Sa capacité frigorifique s'élève à 3,5 kW/12.000 Btu, tandis que sa puissance calorifique est de 2,9 kW.
  • Trotec Climatiseur mobile local design PAC 3810 S
    Climatiseur mobile monobloc de 3,8 kW/13.000 Btu pour pièces de 50 m²/125 m³ max.
  • Trotec Climatiseur mobile local design PAC 3810 S + AirLock 1000
    Climatiseur de 3,8 kW/13.000 Btu pour 50 m²/125 m³ max. en set avec kit de calfeutrage.
  • Trotec Climatiseur mobile PAC 3501 S avec WiFi
    Climatiseur mobile PAC 3501 S3 en 1 : climatisation, ventilation et déshumidification en un seul appareil
  • Trotec Climatiseur mobile local PAC 3500 SH + AirLock 1000
    Le PAC 3500 SH est un climatiseur mobile réversible de classe énergétique A à fonctions de ventilation et déshumidification. Sa capacité frigorifique s'élève à 3,5 kW/12.000 Btu, tandis que sa puissance calorifique est de 2,9 kW. En set avec kit de calfeutrage pour gaine d'évacuation.
  • Trotec Climatiseur mobile local design PAC 3810 S + AirLock 100
    Climatiseur de 3,8 kW/13.000 Btu pour 50 m²/125 m³ max. en set avec kit de calfeutrage AirLock 100.
  • Climatiseur mobile 3 en 1- silencieux et compact - avec télécommande - bestron aac7000
    Climatiseur mobile 3 en 1 Climatiseur mobile 3 en 1 de la marque Bestron avec fonction climatiseur, ventilateur et déshumidificateur 3 en 1.  Capacité de refroidissement de 7000 BTU / 2.1 kW / 60 m3. Tuyau d'évacuation de 1.5m et kit d'évacuation par la fenêtre   Commande facile et simple par un panneau ou télécommande (fournie)
  • Climatiseur mobile compact HBM - 7 000 BTU/h
    Découvrez le puissant climatiseur mobile compact HBM, un complément précieux pour les pièces qui se réchauffent rapidement. Grâce à sa conception compacte, ce climatiseur mobile est très silencieux, de sorte qu'il ne vous dérangera même pas la nuit. Le climatiseur est livré avec une télécommande pour plus de commodité. Ce climatiseur mobile associe un faible niveau sonore à un débit d'air puissant, ce qui vous permet de rafraîchir rapidement une pièce de 27 m² pour atteindre une température agréable. Le design compact permet de déplacer facilement le climatiseur et le tube flexible à l'arrière assure une dissipation efficace de la chaleur. Le climatiseur mobile compact HBM offre plusieurs options de luxe, telles que le réglage numérique de la température, une sécurité enfant, des roulettes pivotantes pour un déplacement aisé, une option de déshumidification, une minuterie de mise en veille et un système d'évacuation de la condensation. Grâce à la télécommande infrarouge fournie, vous pouvez contrôler toutes les fonctions confortablement depuis votre fauteuil ou votre lit. Grâce à ce climatiseur mobile léger, il est à nouveau possible de dormir et de travailler à la maison à une température confortable. Une solution pratique et agréable pour les journées chaudes !
  • Climatiseur mobile compact HBM - 9 000 BTU/h
    Le climatiseur mobile compact HBM est la solution pour maintenir les espaces de travail et les entrepôts confortables pendant les journées chaudes. Avec une capacité de refroidissement de 9 000 BTU/h, ce puissant climatiseur peut refroidir sans effort une pièce de 30m2 rapidement jusqu'à une température confortable. Grâce à la technologie de la pompe à chaleur, l'air chaud est aspiré, refroidi puis expulsé, déplaçant ainsi plus de chaleur qu'il n'en coûte. Cela permet de maintenir la consommation d'énergie à un niveau bas et de ne pas gaspiller une chaleur précieuse. Le faible niveau sonore vous permet d'utiliser le climatiseur même dans votre chambre à coucher, sans nuisance sonore. Le tube flexible situé à l'arrière du climatiseur peut facilement être fixé à une fenêtre ou à un mur à l'aide des profilés et de la buse fournis, empêchant ainsi l'air chaud de circuler à l'intérieur et l'air refroidi de disparaître à l'extérieur. L'affichage LED facilite le réglage de la température, tandis que la sécurité enfant empêche toute utilisation non souhaitée. Grâce à ses roulettes légères, le climatiseur est facile à déplacer. La télécommande infrarouge permet de contrôler toutes les fonctions, y compris la minuterie de mise en veille pour une nuit de fraîcheur.
  • Trotec Climatiseur local monobloc mobile PAC 3000 X A+
    Climatiseur mobile de 2,9 kW pour pièces de 40 m²/100 m³ max.
  • Trotec Climatiseur local monobloc mobile PAC 3800 S
    Climatiseur mobile de 3,8 kW/13000 Btu pour pièces de 50 m²/125 m³ max.
  • Trotec Climatiseur local monobloc mobile PAC 3500 S
    Climatiseur mobile de 3,5 kW/12000 Btu pour pièces de 46 m²/115 m³ max.
  • Trotec Climatiseur local monobloc mobile PAC 2100 X
    Le PAC 2100 X est un climatiseur monobloc de 2 kW/7.000 BTU pour espaces de 26 m²/65 m³ max. Il dispose d'une fonction de ventilation et de déshumidification. Les réglages s'effectuent par le biais de la télécommande ou directement au niveau du panneau de commande.

Module externe d’un climatiseur à air.

Module externe de climatiseur sur un toit.

Climatiseur intégré au plafond.

La climatisation est la technique qui consiste à modifier, contrôler et réguler les conditions climatiques (température, humidité, niveau de poussières, etc.) d’un intérieur pour des raisons de confort (automobile, bureaux, maisons individuelles) ou pour des raisons techniques (laboratoires médicaux, locaux de fabrication de composants électroniques, blocs opératoires, salles informatiques, etc.).

Les paramètres modifiés, contrôlés ou régulés sont :

Certaines des techniques utilisées sont anciennes et d’autres moins (invention du réfrigérateur au XIXe siècle par exemple) ; les systèmes modernes tendent à les associer dans un même appareil dit climatiseur réversible (réfrigération l’été et chauffage l’hiver).

En 2018, selon l’Agence internationale de l’énergie, les climatiseurs et ventilateurs électriques consomment déjà environ un cinquième de l’électricité totale des bâtiments dans le monde, soit 10 % de la consommation totale d’électricité, et on s’attend à une forte augmentation d’ici à 2050 où à ce rythme la réfrigération de locaux pourrait devenir la première source de consommation d’électricité.

Les Romains utilisaient un tunnel souterrain d’apport d’air extérieur qui était un vrai climatiseur puisque l’air entrant dans la maison était assez invariablement autour de 10-12 °C hiver comme été (principe du puits canadien)

Des grottes ou des endroits particulièrement froids (grottes, ruisseaux de montagne, glacier, etc.) sont utilisés pour conserver les aliments voire des blocs de glace durant plusieurs mois[1].

Dès le XVIe siècle des systèmes naturels de rafraîchissement, obtenus par ruissellement d’eau, provoquant ainsi par évaporation une diminution de la température d’air. Du temps de Louis XIV la glace était transportée, depuis les glaciers, protégée par une couche isolante de paille[2].

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Fin du XVIIIe siècle, des réseaux de climatisation sont créés avec des blocs de glace intégrés à même les réseaux avec ventilation forcée. Avant l’invention des réfrigérateurs, on stockait dans une glacière la glace (par exemple découpée l’hiver sur les étangs). Il s’agissait d’un trou fermé par un couvercle isolant dans lequel on alternait des couches de paille, ou de sciure de bois, et de glace. Comme l’air froid descend et que la chaleur monte, l’orifice de remplissage se situant en haut, la température basse se maintenait et une partie de la glace, ainsi stockée, se conservait jusqu’à l’été. La notion de confort d’été est encore bien ancienne avec des conceptions architecturales privilégiant des courants d’air et protégeant de la chaleur les zones en ensoleillement direct.

En 1755, l’Écossais William Cullen obtient un peu de glace en introduisant de la vapeur d’eau sous une « cloche à vide »[3],[4].

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Jacobs Perkins fait des recherches en réfrigération et brevète, en 1834, un système frigorifique à compression de vapeur. Le fluide utilisé était l’éther éthylique. Une nouvelle tentative d’utilisation industrielle de la réfrigération daterait de 1851 lorsque James Harrison, imprimeur écossais émigré en Australie, achète une entreprise de presse. Alors qu’il nettoie des caractères à l’éther, il remarque que le liquide refroidit fortement le métal en s’évaporant. Harrison a l’idée de comprimer l’éther gazeux avec une pompe pour le transformer en liquide, puis de laisser l’éther liquide revenir à l’état gazeux en provoquant un refroidissement. Il met ce système en œuvre dans une brasserie australienne où le gaz froid d’éther est pompé dans des tuyaux qui circulent dans le bâtiment. Harrison utilise le même principe pour fabriquer de la glace en faisant passer dans de l’eau les tuyaux refroidis par l’éther gazeux. Mais il fait faillite en 1860 car la glace naturelle qu’on importait alors par bateau d’Amérique restait moins chère.[réf. nécessaire]

Un peu plus tard la technologie avançant on se met à fabriquer des systèmes simples de refroidissement fonctionnant avec des compresseurs à piston (comme nos réfrigérateurs actuels) principalement dans les transports maritimes, ces derniers fonctionnaient avec de l’éther qui fut remplacé par la suite par de l’ammoniac qui permet d’obtenir un meilleur rendement[réf. souhaitée].

En 1857, Ferdinand Carré invente le réfrigérateur à eau et ammoniac. Il fait breveter son invention aux États-Unis et à l’Exposition universelle de 1862[5]. Celle-ci n’eut pas de succès pour le marché domestique mais trouva son succès dans les brasseries, pour maintenir les boissons au frais. Le réfrigérateur pouvait produire entre 12 et 100 kg de glace, selon les modèles[6].

XXe siècle[modifier | modifier le code]

La climatisation moderne a été inventée par Willis H. Carrier en 1902 avec un système de réfrigération centrifuge doté d’un compresseur central permettant d’en réduire la taille (il ne sera dévoilé au public qu’en 1925 quand M. Carrier persuade la Paramount de l’installer lors de la construction de la salle de spectacle Rivoli Theater à Times Square. La légende dit que les blockbusters de l’été datent de cette époque car les New-yorkais, dès lors, s’installeront dans les salles de cinéma climatisées durant les chaudes journées d’été)[7].

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

En 2017, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), environ 1,6 milliard de climatiseurs fonctionnaient dans le monde, dont 50 % environ aux États-Unis et en Chine[8].

Du fait du réchauffement climatique et du développement économique, le parc des climatiseurs augmente : environ 135 millions d’unités sont vendus en 2017 (trois fois plus qu’en 1990), dont 53 millions d’unités en Chine alors qu’en Inde 4 % seulement des foyers sont équipés. Près de 3 900 TWh d’énergie ont servi à rafraîchir des logements et bureaux, à la réfrigération d’aliments et de médicaments, etc.. Cela compte pour 3 à 4 % de la consommation finale d’énergie, selon Toby Peters de l’Université de Birmingham[9], 10 % de la consommation électrique mondiale en 2018 selon l’AIE[10]. Les climatiseurs et ventilateurs électriques consomment ainsi environ un cinquième de l’électricité totale des bâtiments dans le monde, et on s’attend à une forte augmentation d’ici à 2050 où à ce rythme la réfrigération de locaux pourrait devenir la première source de consommation d’électricité[11].

En France, les pics de consommation électrique sont hivernaux, et dus essentiellement au chauffage électrique. Le besoin de chauffage devient presque nul en été, ce qui permet d’entretenir les centrales en été (quand l’eau de refroidissement est moins disponible). Mais dans un nombre croissant de pays les pics de consommation sont estivaux, induits par les climatiseurs, devenant préoccupant pour les futurs réseaux électriques, d’autant que la demande en climatisation devrait « exploser dans les prochaines décennies » selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE)[8], ce qui pourrait accroître la consommation d’énergie utilisée pour la réfrigération et climatisation d’environ 90 % d’ici à 2050, selon l’Université de Birmingham lors du premier congrès mondial dédié au « clean cold » (avril 2018).

La climatisation offre un confort thermique quand la température extérieure est basse ou élevée. En intersaisons, le besoin de climatisation varie, en lien avec les apports externes (solaire notamment) et internes (nombre important d’occupants, appareils électriques tels que l’éclairage, la micro-informatique, etc.).

Un même système (pompe à chaleur réversible, d’une taille adaptée à l’usage) permet de chauffer ou réfrigérer les locaux selon le besoin.
Le confort en hygrométrie est de plus en plus pris en compte pour apporter une humidité ambiante contrôlée par les actions d’humidification et de déshumidification, enclenchées par un hygrostat.

Systèmes[modifier | modifier le code]

Principe de fonctionnement d’un climatiseur.

Exemple d’une centrale de traitement d’air.

Le principe de fonctionnement d’un climatiseur est expliqué sur le schéma suivant.

Un système de climatisation doit non seulement contrer les charges thermiques et hydriques d’un local, mais il doit aussi assurer la qualité de l’air par le renouvellement d’air neuf hygiénique (maintien de la teneur en CO2 et des odeurs à un niveau acceptable défini par les normes en vigueur), et la filtration de l’air soufflé.

  • Les charges thermiques sont les apports ou les déperditions de chaleur externes et internes qui sont exprimés en kilowatts [kW] ;
  • Les charges hydriques sont généralement des apports d’humidité internes exprimés quant à eux en kilowatts [kW] ou en kilogrammes par heure (débit massique).

La filtration peut se faire par air soufflé ou repris[Quoi ?], le renouvellement par extraction forcée de l’air hors du local ou par introduction forcée d’air neuf (air extérieur) dans le local, par renouvellement partiel de l’air ambiant vicié (à l’aide d’un caisson de mélange), ou par un filtre à poussière, éventuellement associé à un filtre à charbon actif.

Typologie des systèmes[modifier | modifier le code]

Le domaine du génie climatique comprend trois catégories de systèmes : les centrales unizones (voir exemple ci-dessus), les centrales multizones, les systèmes autonomes, triomes[Quoi ?].

Renouvellement d’air[modifier | modifier le code]

Le renouvellement de l’air d’un local peut se faire à l’aide de différents systèmes :

  • l’air neuf (aux conditions extérieures) est mélangé avec une partie de l’air repris du local par le biais d’un caisson de mélange (voir schéma ci-contre) ;
  • l’air neuf est préparé aux conditions spécifiques du local (température, hygrométrie) par une autre centrale, appelée généralement « centrale de traitement d’air neuf ».

Systèmes tout air[modifier | modifier le code]

Dans ce type de système, afin d’éviter que l’air extérieur ne vienne polluer celui du local, on augmente légèrement la pression intérieure par rapport à la pression atmosphérique. L’intérêt du caisson de mélange est de réaliser d’importantes économies d’énergie (respect de l’environnement).

On a donc dans ce cas un débit massique d’air soufflé supérieur au débit massique d’air repris. Ce type de procédé est généralement utilisé dans les bureaux, les salles de cinéma, etc.

Systèmes utilisés en recyclage total[modifier | modifier le code]

Dans un système de recyclage total, le renouvellement d’air neuf est obtenu soit par un système de ventilation mécanique contrôlée où le mélange d’air s’effectue directement dans le local, soit l’air neuf est préparé dans une centrale dite « centrale d’air neuf ». Cet air est directement soufflé aux conditions intérieures du local. Un circuit d’air neuf particulier assure le renouvellement d’air neuf, et on a un débit d’air rejeté égal au débit d’air neuf apporté.

Système fonctionnant en tout air neuf[modifier | modifier le code]

Dans ce type de procédé, il n’y a pas de recyclage de l’air du local. En fonction du type de local, il sera soit en surpression afin d’éviter toute pollution de l’air intérieur (blocs opératoires, laboratoires de produits pharmaceutiques, etc.), soit à la pression atmosphérique.

L’inconvénient de ce type d’installation est qu’il est générateur de puissances thermiques très élevées, donc peu économiques. Toutefois, afin de diminuer les coûts énergétiques, on peut installer un récupérateur de chaleur (à plaques par exemple) sur ces centrales.

Système fonctionnant avec récupérateur d’énergie[modifier | modifier le code]

En mode « froid » l’air neuf (qui vient de l’extérieur) plus chaud cède une partie de sa chaleur (un échangeur n’est pas parfait) à l’air usé à travers un échangeur (air/air) ce qui lui permet d’abaisser sa température et ainsi économiser l’énergie à fournir au système de climatisation.

À l’inverse, quand le système passe en mode « chaud », l’air chaud qui est expulsé vers l’extérieur réchauffe l’air neuf avant d’entrer dans l’espace climatisé ce qui permet des économies aussi comme dans certains systèmes de ventilation classique. Cet échangeur est communément appelé « caisson double flux ».

Conditions de base[modifier | modifier le code]

Dans une cour ou un environnement fermé ou peu aéré, par temps chaud, les climatiseurs peuvent créer une bulle de chaleur auto-entretenue, contribuant au phénomène d’îlot de chaleur urbain.

Avant d’installer un système de climatisation, il est important de définir les apports de chaleur et d’humidité intérieures et extérieures.

Définition des conditions extérieures[modifier | modifier le code]

Ces valeurs dépendent de la saison et de la situation géographique où seront situés les locaux à climatiser. Les données météorologiques déjà classifiées permettront de fixer les températures sèches et les températures humides. Ces données vont nous permettre de calculer les puissances maximales à mettre en œuvre dans nos locaux.

Définition des conditions intérieures[modifier | modifier le code]

Les températures et hygrométries intérieures dépendent du type de local.

Pour les locaux comme les habitations individuelles, les bureaux, les grands magasins, etc. (climatisation dite de « confort »), la température et l’hygrométrie dépendront des saisons, mais aussi de la quantité d’élément qui peuvent dégager de l’humidité (nombre de clients, salades, légumes, etc.).

Pour les locaux de types industriels, la température et l’hygrométrie dépendront de l’usage que l’on fait des locaux. Elles peuvent rester constantes toute l’année (local informatique ou laboratoire métrologique par exemple) mais aussi varier (cuisson discontinu dans une conserverie).

Charges d’un local[modifier | modifier le code]

Lors de l’étude d’un projet de climatisation, il est important afin de pouvoir dimensionner correctement la centrale de traitement d’air, d’étudier au préalable les charges que devra supporter la centrale. Il faudra tenir compte des charges dites « sensibles » et des charges dites « latentes ».

Charges sensibles[modifier | modifier le code]

Les charges sensibles venant de l’extérieur sont positives en été (à cause de l’ensoleillement, par exemple) et négatives en hiver (à cause des déperditions).

Les charges sensibles venant de l’intérieur du local proviennent essentiellement :

  • des machines à l’intérieur du local ;
  • de l’éclairage ;
  • des tuyauteries.

Charges latentes[modifier | modifier le code]

Les apports de chaleur latente (dégagement d’humidité sous forme de vapeur d’eau) viennent essentiellement :

  • des locaux (comme les piscines par exemple) ;
  • du matériel à l’intérieur des locaux (convoyeur d’épinard dans une conserverie) ;
  • des occupants (humidité).

Charges hydriques[modifier | modifier le code]

La relation mathématique suivante donne les charges hydriques nommées « [øL] » :

øL = M × Lv [kW]

avec :

  • M = masse d’eau dégagée par heure
  • Lv = chaleur latente de vaporisation de l’eau.

Charges totales[modifier | modifier le code]

Les charges totales sont la somme algébrique des charges sensibles et latentes nommé [øT]. Elle peut être positive ou négative et est donnée par la relation mathématique suivante :

øT = øS + øL [kW]

Bilan énergétique d’un local[modifier | modifier le code]

Si la température et l’hygrométrie du local sont constantes, le bilan énergétique de celui-ci peut être expliqué de la façon suivante :

  1. La puissance apportée au local (air soufflé et apports internes) est égale à la puissance perdue par celui-ci (air repris ou perdu) ;
  2. L’humidité apportée au local par l’air soufflé et les apports d’humidités intérieur est égale à l’humidité perdue sous forme de condensation ou d’extraction d’air.

Bilan enthalpique[modifier | modifier le code]

Pour cela on supposera que le débit massique d’air sec soufflé est égal au débit massique d’air repris :

  • øair soufflé = øair repris

La puissance apportée au local est la somme de la puissance apportée par l’air dans le local, c’est-à-dire à øT (voir au chapitre précédent).

ce qui permet de déterminer les conditions de soufflage.

Conditions de soufflage[modifier | modifier le code]

Pour déterminer les conditions de soufflage de l’air dans un local, il faut connaître :

  • le débit massique d’air sec au soufflage (qmas [kgas/s] ;
  • le taux de brassage τ, (le taux de brassage est le rapport entre le débit d’air soufflé et le volume du local traité, sa connaissance n’est donc pas nécessaire lorsque le débit d’air soufflé est connu, il faut être prudent avec cette notion car le taux de brassage est un résultat de calcul et non une valeur dimensionnante, néanmoins, le taux de brassage est utile pour évaluer le confort à obtenir et la stratification de l’air chaud) ;
  • l’écart de température Δθ entre le soufflage et le local ;
  • le point de soufflage, dont les coordonnées sont déterminées en reportant sur un diagramme psychométrique deux valeurs comme l’enthalpie et la teneur en eau, par exemple.

Les conditions du point de soufflage (plus précisément les conditions de confort) permettront de dimensionner les éléments de l’installation :

  • le débit massique permettra de calculer les puissances des batteries et le débit d’eau piégé par celle-ci (batterie froide humide), le débit d’eau à injecter (humidificateur vapeur) ;
  • l’enthalpie, la température sèche et l’humidité absolue permettront de placer le point sur le diagramme.

Positionnement du point de soufflage[modifier | modifier le code]

Le positionnement du point de soufflage par rapport à celui du local dépend des charges sensibles et latentes (apports ou déperditions).

  • Les conditions à maintenir dans le local sont : θL, rL
  • Les conditions du point de soufflage sont : θs, rs
  • Les charges sensibles peuvent être : =0; <0 ou >0
  • Les charges latentes peuvent être : =0; <0 ou >0

Suivant les valeurs des charges, on peut considérer neuf positions significatives du point de soufflage par rapport à celui du local. En fonction du bilan thermique (apports ou déperditions), on peut donc prévoir la position du point de soufflage par rapport à celui du local.

Écart au soufflage et du taux de brassage[modifier | modifier le code]

L’écart de température au soufflage représente la différence algébrique entre la température de soufflage et la température du local :

  • Δθ = θs – θL ou Δθ = θL – θs

Cet écart est toujours positif quelle que soit la position du point de soufflage par rapport à celui du local. Il dépend du type de bouches utilisées.

On peut prendre en première approximation les valeurs suivantes :

  • Soufflage été : Δθ = de 5 à 15 K
  • Soufflage hiver : Δθ = de 5 à 20 K

Le taux de brassage représente le volume d’air traité renouvelé dans le local pendant une heure :

  • τ =qv/V
    • τ = taux de brassage en h-1
    • V = volume du local en m³
    • qv = débit volumique de soufflage en m³/h.

Le taux de brassage dépend du type de bouches de soufflage installées. Il ne dépasse pas 15 en climatisation de confort et peut aller jusqu’à 30 en climatisation industrielle.

L’Agence internationale de l’énergie (AIE) estime la consommation d’électricité des climatiseurs à 2 000 TWh, soit 10 % de la demande mondiale d’électricité ; entre 1990 et 2016, leur puissance installée a triplé, atteignant près de 12 000 Gigawatts. L’AIE prévoit que la demande d’électricité des climatiseurs pourrait tripler d’ici à 2050. Si le développement de l’énergie solaire, abondante aux heures les plus chaudes, permettra d’absorber une part de la consommation de climatisation, l’AIE estime que cette part restera minoritaire ; elle pointe le risque de croissance des émissions de CO2 liée à la production d’électricité à partir de gaz ou de charbon[12].

En 2016, trois pays concentrent à eux seuls deux tiers du stock de climatiseurs en fonctionnement : la Chine (35,1 %), les États-Unis (23 %) et le Japon (9,2 %) ; la part de l’Union européenne est de 6 % seulement. En France, selon RTE, climatisation et ventilation consomment 3 TWh/an dans le secteur résidentiel et 15 TWh/an dans le secteur tertiaire et l’agriculture ; ces consommations devraient passer à 5 TWh/an et 16,5 TWh/an respectivement en 2035. Les réseaux de froid sont peu développés : 23 réseaux de froid (Paris et sa banlieue, Metz, Lyon, Bordeaux, Toulouse…) sur à peine 200 kilomètres de long, selon l’Ademe, contre 761 réseaux de chaleur avec 5 400 kilomètres de tuyauteries en 2017[13].

En 2019, plus de la moitié des réfrigérateurs et climatiseurs fabriqués dans le monde proviennent de la ville chinoise de Foshan[14].

La climatisation assistée présente des avantages et des inconvénients sanitaires, mais aussi des risques pour la santé et l’environnement.

Nuisances sonores en habitat collectif[modifier | modifier le code]

Les syndics de copropriété et assemblées générales acceptent souvent l’installation de tels équipements sans en mesurer l’impact[15].

Ces équipement émettent des troubles sonore continu qui contreviennent à l’esprit de l’article R. 1334-31 du Code de la santé publique qui dispose qu’aucun bruit particulier ne doit, par sa durée, sa répétition ou son intensité, porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme, dans un lieu public ou privé[15].

Un bruit litigieux est considéré comme une nuisance sonore lorsque le bruit émergent obtenu par différence entre le bruit ambiant et le bruit litigieux est supérieur à 5 db en journée (de h à 22 h) et 3 db la nuit (de 22 h à h)[a],[16].

Dégradation de la santé[modifier | modifier le code]

Les systèmes de climatisation sont accusés de provoquer les risques de santé suivants :

Presque tous les systèmes de climatisation comportent des filtres, qui doivent être nettoyés ou remplacés périodiquement ; cet entretien n’est pas toujours effectué.

  • Une climatisation n’est efficace que dans un espace relativement fermé ; dans ces conditions, divers polluants ou contaminants biologiques (microbes) peuvent se concentrer (même s’ils se développent moins à basse température, dans le cas où la climatisation réfrigère l’air).
  • Une climatisation excessive expose la personne qui se rend ensuite dans un espace non climatisé à un choc thermique. L’Ademe recommande, lors de canicule, de ne pas descendre la « température de consigne » en dessous de 26 °C et de maintenir une différence de température comprise entre 5 et °C entre l’intérieur et l’extérieur d’un bâtiment[17].
  • La transmission de virus entre différents locaux par les systèmes de climatisation a fait l’objet d’études en 2009 qui ne permettaient pas d’apporter de conclusion définitive ; alors que se développait l’épidémie de grippe H1N1, l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Afsset) conseillait : « Dans le cas des bâtiments collectifs équipés d’une centrale de traitement de l’air (climatisation centralisée), maintenir l’apport d’air extérieur et arrêter, si possible sans autre inconvénient, le recyclage[18] ». L’agence française estime en effet que « Dans les bâtiments équipés d’une ventilation avec recyclage de l’air (climatisations dans les immeubles de bureaux ou les bâtiments accueillant du public comme les supermarchés), le risque de transmission ne peut être exclu, mais il reste difficile à évaluer car il dépend de nombreux facteurs non connus (virulence de la souche de virus, cheminement de l’air dans les pièces et les systèmes de ventilation, etc.) »[18].

Pollution environnementale[modifier | modifier le code]

La climatisation pose les problèmes suivants :

  • elle augmente la consommation énergétique des bâtiments ou véhicules qui en sont équipés. L’Ademe estime à 5 % le surcoût annuel de la climatisation des automobiles (1 litre/100 km lorsqu’elle est en fonctionnement). En contrepartie, elle augmente le confort du conducteur et de ses passagers, surtout en période de canicule, ce qui permet une meilleurs attention du conducteur et réduit le risque d’endormissement[réf. souhaitée] ;
  • la consommation électrique due à la climatisation augmente en France, notamment depuis la canicule de 2003 qui a entraîné l’équipement d’un nombre élevé de foyers en climatiseurs. Elle reste cependant très inférieure à celle de l’hiver, même en cas de canicule, et la puissance disponible est largement suffisante[19],[20] ;
  • elle rejette des fluides frigorigènes qui sont de puissants gaz à effet de serre[10],[20]. Leur potentiel de réchauffement global est 2 000 fois plus important que celui du CO2 et une partie de ces gaz s’échappe inévitablement dans l’atmosphère (accidents, fuites, mauvaise gestion de la fin de vie du matériel). Toujours selon l’Ademe, cet effet équivaut à une augmentation de 10 % de l’impact d’un véhicule[Lequel ?] sur l’effet de serre. Ajoutée à la production de CO2 produit dans les centrales génératrices d’électricité basée sur la combustion de carburants, elle a donc un impact à terme sur le réchauffement climatique ;
  • le circuit de la récupération/recyclage des gaz dans les appareils et véhicules en fin de vie reste opaque ;
  • la climatisation par un gaz pourrait souvent être remplacée par une climatisation passive, mécanique ou par des bâtiments ou véhicules mieux conçus (isolation thermique, brise-soleil et divers dispositifs plus « naturels » utilisés par exemple par l’architecture bioclimatique (murs épais à inertie thermique élevée, puits provençal, bâtiment passif, etc.) ;
  • la climatisation est en partie responsable de la « surchauffe urbaine », en augmentant à elle seule de 1 à 1,5 °C la température en ville par rapport à celle de la campagne environnante[10] ; à Paris, la climatisation augmente la température jusqu’à °C[21],[20].

Des solutions alternatives de climatisation sont disponibles, telles que le mur Trombe, le rafraîchissement d’air par évaporation, appelé également « bioclimatisation », « refroidissement adiabatique » ou « climatisation écologique »[22],[23]. Ces systèmes sont peu coûteux, fonctionnent sans gaz réfrigérants, grâce à l’évaporation de l’eau, et ont une consommation électrique réduite. Les inconvénients sont un abaissement de température limité (rarement plus de cinq degrés), limité à la proximité immédiate (quelques mètres), compensé par une augmentation de l’humidité et l’absence de réversibilité[24].

Dégradation de la santé et pollution environnementale[modifier | modifier le code]

Certains produits tels que le bromure de lithium (LiBr) sont à la fois dangereux pour la santé et pour l’environnement. Utilisé dans les machines à absorption (climatisation utilisant de l’eau, de l’ammoniac et le gaz naturel comme source d’énergie, dans une machine à absorption produisant de l’eau chaude et glacée utilisable simultanément) à raison de centaines de litres (plus de 1 000 litres souvent dans les climatiseurs industriels), il peut fuir et doit être vidangé par des professionnels qualifiés en fin de vie de la machine.

Après les faillites ou cessations d’activité d’entreprises dont les locaux sont équipés de climatiseurs, il est parfois difficile de savoir ce que sont devenus ces produits[évasif].

Outre les normes concernant les appareils, leur consommation électrique, la légionellose ou le recyclage des matériaux qui les composent, la législation évolue pour mieux appliquer les protocoles de Montréal (protection de la couche d’ozone, qui a justifié l’interdiction de certains gaz) et de Kyoto, mais souvent en permettant l’utilisation des stocks d’anciens produits et avec une certaine lenteur.

Directives européennes[modifier | modifier le code]

La directive européenne sur la performance énergétique des bâtiments (2002/91/CE[25]) prévoit une inspection périodique des systèmes de climatisation et des pompes à chaleur réversibles d’une puissance supérieure à 12 kW (hors « froid industriel » soumis à d’autres réglementations). Cette inspection comprend une évaluation du rendement de la climatisation et de son dimensionnement par rapport aux exigences en matière de refroidissement du bâtiment. Des conseils appropriés sont donnés aux utilisateurs sur l’éventuelle amélioration ou le remplacement du système de climatisation et sur les autres solutions envisageables[26].

Réglementation française[modifier | modifier le code]

En France, pour les installations anciennes (posées avant juillet 2011) la première inspection doit avoir lieu avant le pour les systèmes de 12 à 100 kW et avant le pour ceux dont la puissance est de 100 kW ou plus. Pour les installations neuves ou tout remplacement, l’inspection devra être réalisée dans l’année suivant la mise en service. Les inspections doivent être renouvelées au moins une fois tous les cinq ans.

En France, le Code de l’énergie[27] interdit le fonctionnement des climatiseurs lorsque la température des locaux est inférieure ou égale à 26 °C. Le décret n’est encore qu’une recommandation dont la non-application n’est pas poursuivie par la loi. Le but est simplement de pousser les utilisateurs à modérer leur utilisation de ce type d’équipement.

Depuis le , les spécialistes de la climatisation et/ou réfrigération doivent :

  • présenter une « attestation de capacité » fournie par un organisme agréé, certifiant que son personnel est compétent et qu’il dispose de l’outillage adéquat ;
  • déclarer à l’Ademe, annuellement, la quantité de fluides utilisée et récupérée (cf. statistiques et « traçabilité » de ces produits soumis à réglementation).

Qualiclimafroid, association de professionnels, s’est portée candidate[28] pour être organisme agréé et délivrer des attestations de capacité.

Depuis 2022, dans certaines communes françaises, une amende peut être obtenue pour faire fonctionner la climatisation avec les portes ouvertes[29].

Réglementation espagnole[modifier | modifier le code]

En 2022, en Espagne, dans le cadre des politiques d’économie d’énergie, la règlementation limitant la climatisation à 27 °C et le chauffage à 19 °C est entrée en vigueur afin de réduire la consommation de gaz d’environ 7 à 8 % en automne et en hiver et réduire le risque de pénurie[30],[31]. Ces mesures entrent en vigueur en août 2022[32]. Cette réglementation connaît des exceptions[33].

L’Agence internationale de l’énergie considère que la consommation d’énergie pour refroidir les bâtiments a doublé entre 2000 et 2022 selon l’Agence Anadolu du gouvernement turc[30]

Dans les pays dits émergents (Chine, Inde, Indonésie, Brésil, Thaïlande notamment) quand le revenu d’un foyer augmente, le climatiseur est souvent l’un des premiers achats programmés ; des milliards de nouveaux appareils devraient être ainsi installés d’ici 2050 (ainsi que des réfrigérateurs) qui consommeront beaucoup d’électricité aujourd’hui surtout issue du charbon ou du gaz… en émet donc des gaz à effet de serre qui réchauffent le climat (pour les villes, une étude de 2014 a conclu d’une simulation qu’en centre-ville la climatisation augmente de °C la température nocturne moyenne[8]. Le scénario tendanciel en 2018 est un doublement des émissions de CO2 induits par la climatisation de 2016 à 2050[34] (« c’est comme si l’on ajoutait une Afrique actuelle au monde, soit près d’un milliard de tonnes de CO2 environ par an »)[8]. L’urbanisation rapide de ces pays pourrait encore exacerber ce paradoxe. Dans ce scénario les besoins énergétiques du refroidissement pourrait dans le monde être porté à 7 500 TWh en 2050, soit « 6,4% à 10% de la consommation globale d’énergie » en 2050, soit trois à cinq fois plus qu’en 2015 (en tenant compte des progrès d’efficacité énergétique de la climatisation)[9]. Le marché associé pourrait être de 260 milliards de dollars en 2050 (contre 140 milliards en 2017)[9].

Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), sur les 2,8 milliards d’humains qui vivent dans les régions les plus chaudes du globe, seulement 8 % bénéficient de l’air conditionné en 2017, contre 90 % aux États-Unis et au Japon. L’AIE prévoit un triplement de la consommation d’énergie pour la climatisation d’ici à 2050 à technologie inchangée, pour atteindre 6 200 térawattheures. En Inde, la demande sera multipliée par quinze. Trois pays, l’Inde, la Chine et l’Indonésie, représenteront à eux seuls plus de la moitié de la croissance mondiale, et la progression sera aussi très forte au Brésil, au Mexique et au Moyen-Orient. Les émissions de CO2 liées à la climatisation doubleraient pratiquement en trente ans, à plus de deux milliards de tonnes, malgré le développement d’une électricité toujours plus propre. L’AIE estime qu’en agissant sur l’efficacité énergétique des équipements d’air conditionné, on pourrait plus que doubler la performance du parc installé d’ici à 2050 et donc réduire la demande en énergie à 3 400 térawattheures[35].

En 2017, un métamatériau fait d’un polymère encapsulé dans des microsphères et complété d’une fine couche d’argent en face arrière (50 µm d’épaisseur) a été mis au point, qui pourrait dans le futur contribuer à la climatisation d’immeubles résidentiels[36]. Le principe est que pour éviter que la journée, plus d’énergie solaire soit absorbée que de rayonnement thermique ré-émi, le métamatériau est transparent au spectre solaire réfléchi par la couche d’argent en face arrière, tandis qu’il a une forte émissivité dans l’infrarouge (rayonnement thermique). Il peut donc perdre de l’énergie même la journée, tandis que les matériaux normaux absorbent le spectre solaire et se réchauffent donc la journée. Le comportement thermique de ce type de métamatériau est radicalement différent de celui des corps naturels ou usuels dont l’absorption[Laquelle ?] égale l’émissivité, alors que pour ce métamatériau, l’absorption est proche de 0 tandis que l’émissivité est proche de 1. Le refroidissement du bâtiment se produit car sa chaleur est transférée par conduction thermique vers la couche de métamatériau déposée à sa surface qui l’évacue ensuite. « De 10 à 20 m2 de ce matériau sur le toit d’une maison suffisent à bien la rafraîchir en été » selon Gang Tan, professeur adjoint d’ingénierie architecturale à l’université du Wyoming, co-découvreur de cette technique. Un prototype de « ferme de refroidissement » (200 m2) est prévu en 2017 à Boulder, dans le Colorado)[37]. Ce film de méta-matériau renvoie efficacement l’infrarouge de l’énergie solaire vers l’atmosphère sans empêcher l’objet recouvert d’aussi perdre la chaleur qu’il a emmagasinée[37].

Créée en 1966-1967, l’œuvre d’art conceptuel Air-Conditioning Show, littéralement « Spectacle de l’air conditionné », expose le système de climatisation du musée ou de l’institution qui accueille l’œuvre[38].

Notes[modifier | modifier le code]

  1. En comptant 37 % de temps nuit et 63 % de temps jour.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Informations lexicographiques et étymologiques de « glacière » (sens A) dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales.
  2. Comment conservait-on les sorbets sous Louis XIV ?, sur caminteresse.fr du 3 septembre 2017, consulté le 19 mai 2019.
  3. Voir le diagramme de phase de l’eau dans l’article « Point triple » pour comprendre l’incidence de la pression sur le point de congélation.
  4. Analyse Thermodynamique du Tube Ranque [PDF], Université Lorraine, p. 9.
  5. Pierre Rapin, Patrick Jacquard et Jean Desmons, Technologie des installations frigorifiques, Dunod, , 10e éd., 640 p. (ISBN 978-2-10-072355-3, lire en ligne).
  6. Philippe Valode, Histoire des grands inventeurs français : du XIVe siècle à nos jours, Nouveau Monde éditions, , 332 p. (ISBN 978-2-36942-202-0, lire en ligne), Les frères Carré.
  7. Benoît Bréville, « L’air conditionné à l’assaut de la planète : Histoire d’une passion américaine », Le Monde diplomatique,‎ (lire en ligne).
  8. a b c et d « Le paradoxe des climatiseurs qui réchauffent la planète », Brèves AFP, sur connaissancedesenergies.org, Alcen pour la Connaissance des Énergies, .
  9. a b et c « Les besoins de « refroidissement » face au défi du réchauffement climatique », L’essentiel de l’actualité, sur Connaissance des Énergies, .
  10. a b et c Soazig Le Nevé, « Canicule : les gestes pour réduire la température chez soi sans clim », sur Le Monde, (consulté le ).
  11. (en) Air conditioning use emerges as one of the key drivers of global electricity-demand growth, Agence internationale de l’énergie, 15 mai 2018.
  12. Pourquoi le boom de la « clim » inquiète, Les Échos, 25 mai 2018.
  13. Véronique Le Billon, La climatisation et les réseaux de froid restent balbutiants en France, Les Échos, 24 juin 2019.
  14. (en) Bernhard Zand, « China Tries Building a New Kind of Megapolopolis », sur Der Spiegel, (consulté le ).
  15. a et b « Troubles de voisinage • Climatiseurs • Réglementation. », no 629, sur informationsrapidesdelacopropriete.fr (consulté le ).
  16. Quelle est la réglementation autour des nuisances sonores dues à la climatisation ?, compare-immobilier.com, le .
  17. Garder son logement frais en période de forte chaleur [PDF], Ademe, juin 2021.
  18. a et b Impacts sanitaires & énergétiques des installations de climatisation [PDF], Anses.
  19. Canicule : RTE rassure sur la consommation d’électricité, Le Point, 24 juin 2019.
  20. a b et c « Consommation d’énergie, émission de gaz à effet de serre… Comment la climatisation, meilleure ennemie des canicules, piège l’humanité », sur Franceinfo, (consulté le )
  21. Vincent Bordenave et AFP agence, « La climatisation est en train de devenir un fléau pour le climat », Le Figaro,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  22. La bio climatisation ou le principe du rafraîchissement d’air par évaporation – Le Moniteur, 17 septembre 2018.
  23. Bio climatisation, ooreka.fr, consulté le 30 juin 2019.
  24. La bio climatisation : un système économique et écologique, quelleenergie.fr, 2019.
  25. Directive transposée en juillet 2011 dans le droit français.
  26. Directive 2002/91/CE, EUR-Lex.
  27. Article R. 241-30 et suivants du Code de l’énergie.
  28. Milena Chessa, « La climatisation, une arme à double tranchant contre la canicule », sur lemoniteur.fr, (consulté le ).
  29. https://www.leparisien.fr/paris-75/climatisation-en-marche-et-portes-ouvertes-a-paris-les-premiers-commercants-verbalises-10-08-2022-V4BS2WF5EVHCZMH7QFQFZSQARI.php
  30. a et b Espagne : Climatisation limitée dans le cadre des politiques d’économie d’énergie, aa.com, (consulté le ).
  31. L’Espagne adopte des mesures pour limiter l’usage de la climatisation et du chauffage dans les lieux publics, CNews, (consulté le ).
  32. L’Espagne limite les climatisations à 27°C, siecledigital.fr, (consulté le ).
  33. Climatisation et transports ferroviaires réduits: l’Espagne face à l’économie d’énergie, RFI, (consulté le ).
  34. Agence internationale de l’énergie, 2018 .
  35. L’essor de la climatisation, une grave menace pour le climat, Les Échos, 25 juin 2019.
  36. (en) Scalable-manufactured randomized glass-polymer hybrid metamaterial for daytime radiative cooling, Science, 10 mars 2017.
  37. a et b « Des chercheurs américains ont mis au point d’un matériau agissant comme un climatiseur », Brèves AFP, sur connaissancedesenergies.org, Alcen pour la Connaissance des Énergies, .
  38. Fred Guzda, « Le concept à l’œuvre : sur une hypothèse d’Art & Language », Les chantiers de la création. Revue pluridisciplinaire en Lettres, Langues, Arts et Civilisations, no 9,‎ (ISSN 2430-4247, lire en ligne, consulté le ).

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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